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11/11/2014

Traduction, trahison ?

Je lis de moins en moins de romans policiers.
Je ne sais pas pourquoi, enfin si.
Je n'aime pas le policier nordique et je ne trouve plus que ça.

Je continue néanmoins à lire les traductions des polars d'Elizabeth George.
J'y retrouve les mêmes héros, j'ai l'impression de lire une saga depuis plusieurs années.
Le vicomte Lynley se remet doucement de la mort de sa femme, le lieutenant Barbara Havers ne donne toujours pas dans l'élégance.

J'ouvre le dernier avec un plaisir anticipé et... Je déchante rapidement !
C'est laborieux, c'est lourd, je me forcerai quand même jusqu'à la dernière page.
Je vérifie et je vois qu'il y a eu changement de traducteur.
Il faut croire que les économies frappent ce secteur aussi.
Résultat, je les lirai toujours mais en poche.

Je viens de commencer Donna Leon, le dernier Brunetti.
Je les lis pour Venise, pour les odeurs, les marchés et le fatalisme du commissaire Brunetti.
Là aussi il y a changement de traducteur.
Alors que d'habitude le commissaire est lent, qu'il lit et relit les classiques romains car c'est sa marque de fabrique, là, il est presque guilleret.
Ça choque tout autant.

Messieurs les éditeurs, à force de faire des économies sur tout, vous allez perdre vos lecteurs.

traduction, Venise, Londres, traduction

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10/11/2014

Un avantage qui ne compte pas pour des prunes.

Par ces temps de disette, notre appartement présente un avantage certain, la chaudière est toujours sur été et il ne fait pas froid.
Nous avons 21° la journée et le soir, j'ouvre la fenêtre de la chambre.

Le Goût ne se plaint presque plus de la température.
Elle est pas belle la vie ?

Pourtant, ça déménage toujours autant et j'avoue que si je n'étais pas un peu lasse et beaucoup fauchée, je déménagerais aussi.
Toujours dans le même coin car j'aime cette endroit mais j'avoue que j'aimerais vivre dans un appartement qui a été fini et dont le rappel des charges va être une catastrophe.
La note s'annonce salée parce que le Syndic veut faire payer aux locataires une partie des réparations de l'ascenseur.
Pourtant ce n'est pas notre problème, le bailleur doit avoir une assurance, donc il va falloir se battre.
L'éclairage des parties communes est défaillant, il devrait s'allumer à la demande, lorsqu'on ouvre une porte.
Hélas, le capteur est mal réglé et les dix spots de notre étage éclairent jour et nuit et chauffent le couloir.
C
erise sur le gâteau, nous payons pour l'entretien somptueux du jardin de la maison voisine puisque la propriétaire de la maison fait partie de la copropriété...

Donc pour l'instant, un seul avantage, le chauffage.
Plutôt l'absence de chauffage...

Chauffage, appartement, gaz

09/11/2014

Hier, je suis allée au cinéma

Hier, j'ai pris le train pour aller au cinéma dans une ville voisine.
Le Goût charmé par la foule a aussitôt émis l'hypothèse de venir vivre là.

J'ai vu  "Magic in the Moonlight", le dernier Woody Allen.
J'ai pensé à Fitzgerald.
Ils sont beaux, ils sont ou vont devenir riches.
Ils dansent sur un volcan et les couleurs sont superbes.

Depuis la "Rose pourpre du Caire", je n'avais pas été aussi emballée par un film de Woody Allen.
La vieillesse lui donne un dernier éclat et on pourrait croire un instant que le New-Yorkais va retrouver la foi.
Pirouette de l'homme qui ne croit qu'à l'illusion du cinéma...

cinéma,woody allen,illusion

 

 

08/11/2014

La légende de Merveille.

Notre cinéma rouvre vraiment !
Mercredi prochain, notre après midi sera très occupé.
Nous irons d’abord chercher Merveille à l’école puis, après le McDo, nous l’emmènerons voir « La légende de Manolo » dans notre nouveau cinéma tout neuf.
On est sûr qu’elle va aimer.
Une histoire où pour grandir on doit vaincre ses peurs et où un petit garçon jure un amour éternel à une petite fille, « elle va kiffer grave » comme dirait son père s’il n’avait décidé d’avoir une fille « bien élevée ».
Il va donc dire « Elle va adorer ».

la-legende-de-manolo.jpg

 

07/11/2014

Hier, j'ai fait du ravitaillement.

livre, pot au feu, automne

Hier, nous sommes allés faire du ravitaillement.
Ça sent l'automne et j'ai envie de pot de feu.
Dire que le pot au feu était un plat de pauvre, aujourd'hui on reçoit autour d'un plat unique de ce genre...

Et ce matin, pendant que la pluie tombait, j'ai fini mon livre.
Depuis deux jours, je traînais...
Il me plaisait tant que j'appréhendais le matin où j'allais me retrouver les mains vides et un choix à faire.
Un autre livre à trouver.

Elizabeth von Arnim ne me déçoit jamais, qu'elle parle des hommes de sa vie à travers ses chiens, qu'elle nous raconte un mois d' "Avril enchanté", je ne referme jamais ses livres sans un pincement de regret.

"Père" nous parle d'une jeune femme célibataire qui découvre, lorsque son père se remarie, la liberté dans le Sussex.
On y trouve le sens du devoir, la campagne anglaise et ses pasteurs, et trois histoires d'amour sans amour, mais non dénuées d'avantages...

Mab, ce livre est pour toi.