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17/11/2017

Une matinée dans la vie du Goût...

Le Goût se lève, prend son petit déjeuner et fait le tour des administrations qui nous réclament régulièrement des sous.
L'eau, le gaz, l'électricité, les impôts, notre ancien bailleur, le nouveau et commence à téléphoner.
Il téléphone à des interlocutrices qui ne comprennent pas toujours pourquoi nous ne sommes pas d'accord.
Il téléphone à des organismes qui ne répondent pas, notre banque, par exemple.

Notre banque nous a domiciliés au 99 d'une rue, qui ne compte que 26 numéros.
C'est ballot car il nous arrive d'avoir besoin d'un chéquier.
Le Goût n'a pas de réponse à son message...

Notre ancien bailleur nous annonce que nous avons consommé plus de 450 m3 d'eau.
C'est énorme, son interlocutrice cherche et clôt par "je reviens vers vous dès que possible".
Je déteste cette formule directement traduite de l'anglais.

Notre nouveau bailleur ne revient pas vers nous mais nous promet d'agir rapidement.
On se demande ce qu'elle entend par "rapidement" mais elle est charmante au téléphone et le Goût adore lui téléphoner.
Cela dit, nous n'avons toujours pas une clef pourtant indispensable.

Le gaz profite que nous avons une plus petite surface pour augmenter, presque doubler, nos mensualités.
Le Goût n'a pas encore réussi à argumenter avec eux.

L'électricité fait la même chose et nous fait payer un travail de relevé fait par nous.
De désespoir le Goût a fini par raccrocher.

Heureusement, nous avons la lumière.
Les décorations de Noël sont déjà installées.
Bientôt ça va commencer en septembre, mais comme la rentrée des classes commence à la mi-mai...
Les rues d'où nous apercevons le Sacré Cœur sont déjà illuminées le soir.

Téléphone, eau, gaz, électricité

15/02/2015

La vie est un compte de faits...

Hier, le Goût, mon héros au sourire si "chelou", remonte avec le pain et une facture de Gaz de France.

Cette facture est d'autant plus surprenante que nous payons par prélèvement mensuel.
Et douteuse puisqu'il s'agit d'un rappel de 2012.
Or le Goût tient nos comptes avec sérieux et n'oublie rien.
Sauf au moment du scanner mais, l
e scanner passé, il traque son erreur et la retrouve toujours.
Cette facture le gêne.
Il appelle Gaz de France et il apprend qu'il s'agit d'un rappel,
suite à une décision du Conseil d'Etat, sur des factures déjà payées .
En gros, c'est comme si votre boulanger vous réclamait un rappel de six mois sur votre baguette sous le prétexte fallacieux qu'il avait mal calculé son prix de vente.

Le Goût cherche et trouve le texte du Conseil d'Etat.
Ce dernier a effectivement autorisé Gaz de France a pratiquer ce genre "d'arnaque".
Mais, et c'est là que ça coince, le Conseil d'Etat ne valide l'annulation de la décision gouvernementale que pour les résidences équipées d'un chauffage collectif donc d'un contrat plus avantageux.
Or nous n'avons habité que dans des endroits où le chauffage est individuel...
C'est là qu'il a son sourire "chelou".
Il rappelle Gaz de France, lit la  décision du Conseil d'Etat dont il a le texte sous les yeux à son interlocutrice.
Interlocutrice qui va demander à son responsable.
Revient lui dire que le responsable va demander à un responsable plus haut placé.
Puis revient lui dire que Gaz de France rappellera le Goût dans la semaine après que le responsable plus haut placé en aura référé à Dieu sans doute. 
Tous ces braves gens bredouillent.

La facture reste en suspens, on doit le rappeler.

Le Goût mène son combat pour moins de trente €uros.
Il en fait une question de principe.

10/11/2014

Un avantage qui ne compte pas pour des prunes.

Par ces temps de disette, notre appartement présente un avantage certain, la chaudière est toujours sur été et il ne fait pas froid.
Nous avons 21° la journée et le soir, j'ouvre la fenêtre de la chambre.

Le Goût ne se plaint presque plus de la température.
Elle est pas belle la vie ?

Pourtant, ça déménage toujours autant et j'avoue que si je n'étais pas un peu lasse et beaucoup fauchée, je déménagerais aussi.
Toujours dans le même coin car j'aime cette endroit mais j'avoue que j'aimerais vivre dans un appartement qui a été fini et dont le rappel des charges va être une catastrophe.
La note s'annonce salée parce que le Syndic veut faire payer aux locataires une partie des réparations de l'ascenseur.
Pourtant ce n'est pas notre problème, le bailleur doit avoir une assurance, donc il va falloir se battre.
L'éclairage des parties communes est défaillant, il devrait s'allumer à la demande, lorsqu'on ouvre une porte.
Hélas, le capteur est mal réglé et les dix spots de notre étage éclairent jour et nuit et chauffent le couloir.
C
erise sur le gâteau, nous payons pour l'entretien somptueux du jardin de la maison voisine puisque la propriétaire de la maison fait partie de la copropriété...

Donc pour l'instant, un seul avantage, le chauffage.
Plutôt l'absence de chauffage...

Chauffage, appartement, gaz