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25/09/2016

En vrac.

Cette semaine, je suis allée chez le dentiste.
J'ai eu le temps de lire la moitié d'un Elle, le "spécial sac à main".
J'adore les sacs mais à mille €uros, je passe.

Nous sommes allés plusieurs fois à Paris, que dire, c'était bien, mais je devrais regarder mes pieds plutôt que les cariatides, j'ai des bleus, non pas à l'âme, mais aux pieds à force de me cogner dans les trottoirs laissés à l'abandon.

Nous avons dîné chez les enfants.
JJF souffre toujours...
Elle a bientôt rendez vous pour son injection de botox, dans le pied, pas dans le front.

L'Ours avait fait des boulettes.
Ça devient une compétition !
J'étais "la reine de la boulette", ça marche dans toutes les situations.
L'Homme avait pris ma place.
Je crois bien qu'il vient d'être détrôné par son fils.

Les filles vont bien mais elles sont d'une jalousie féroce.
JJF nous a proposé d'aller chercher Merveille à l'école vendredi mais sans sa sœur.
On prendra la cadette un autre jour.

Voila encore une semaine que je n'ai pas vu passer, c'était bien.

famille, dentiste, Paris

23/09/2016

En route pour de nouvelles aventures.

Tout à l'heure, à douze heures trente, j'ai rendez vous chez le dentiste.
Déjà, c'est une heure étrange...

Il me dira que je me lave mal les dents.
Celles qui restent.
Ça c'est pas un scoop.
Vous avez déjà entendu un dentiste, un qui vit grassement de vos erreurs, vous dire que vous vous brossez correctement les dents ?
Moi, jamais.

Et qui vais-je rencontrer ?
L'égaré, celui qui décale tous les rendez vous de la journée ?
Que va-t-il arriver ?

Un patient qui s'effondre, victime d'une crise cardiaque ?
Moi peut être quand je verrai la facture ?

"Vous le saurez demain", comme disait Zappy Max...

22/09/2016

J'ai des journées palpitantes.

Nous avons un téléphone fixe...
"Bravo ! N
ous aussi, nous avons un téléphone fixe ! " allez vous vous écrier.
Oui mais le nôtre ne tenait plus la charge depuis des mois.
Au bout d'une heure de conversation avec ma sœur, il s'éteignait...

Je dois dire qu'une heure me semblait grandement suffisant mais depuis quelques jours, il ne me laissait moins de dix minutes de conversation.
Et encore.

Alors, hier nous sommes partis chez Darty.
Vivre à dix minutes de Paris, ne vous donne pas droit à un Darty dans votre ville.
Vous devez aller à la Défense, beurk.
Ou à Paris, chic !

Alors, nous sommes partis avec l'idée de manger un bô-bun.
En chemin l'idée nous est venue de boire un café avec une amie, si elle avait le temps.
On a bu le café avant de déjeuner.
Il fut long alors nous sommes arrivés pour la fermeture du restaurant.
Le bô-bun sera pour une prochaine fois...

Arrivés chez Darty, une rangée de téléphones à des prix prohibitifs nous attend.
Nous ne sommes pas d'accord, le Goût avait vu sur leur site les mêmes à 25 €, pas à 40 € !
On veut notre téléphone par cher, il ne mourra ni plus tôt ni plus tard que les autres.

Les téléphones ne sont pas un "produit noble" chez le "roi de l'électroménager" alors le Goût cherche un vendeur.
Le Goût est tenace qui finit par en trouver un qui nous explique qu'il faut commander notre téléphone qui, à ce prix,  n'est pas en magasin...

Le Goût commande.
Nous irons chercher ce téléphone, une autre occasion d'aller à Paris et de déguster un bô-bun, ça ne se rate pas...
Surtout, nous ne voulons pas payer l'envoi par Chronopost, cher et de fiabilité douteuse puisque notre porte d'entrée, après un bon mois de fermeture, ne ferme à nouveau plus...

La banlieue, c'est chouette pour dormir.
Pour vivre c'est plus délicat...

téléphone, Darty, café, amitié

20/09/2016

Le cabinet de curiosités

J'ai changé de dentiste.
Je fais refaire les travaux ratés par l'ancien.
Le cabinet n'est pas loin de chez moi mais j'y passe finalement toujours plus de temps que prévu.

La semaine dernière déjà, alors que je me trouvais dans la salle d'attente, un vieux monsieur m'apprendra plusieurs fois car il tourne en boucle, qu'il a 86 ans, qu'il s'est perdu et qu'il a attendu deux heures chez un autre dentiste alors qu'il habite à côté de celui-ci.

Une assistante viendra me dire que le dentiste a du retard.
Il doit soigner "le perdu".
J'essaie de lire, pas la peine.
J'apprends incidemment que mon perdu avait un métier, beaucoup de mémoire et plus du tout le sens de l'orientation.

Hier, dans la salle d'attente, une assistance est arrivée et m'apprend que le dentiste aura un peu de retard car une patiente a un malaise dans le cabinet.
Rien de grave, "un petit malaise", une "crise de tétanie".
On m'amène un café, je suis seule, je me plonge dans "Elle".
C'est chouette, j'apprends que cette année le pantalon se porte "ramasse-poussière".

J'entends du bruit, la même assistante m'informe que le "malaise" s'aggrave, qu'on attend le SAMU.
J'entends des bruits.
Je continue à lire "Elle" que je ne le lis plus depuis des années.
J
e me plonge dans un article sur le pantalon sur mesure, enfin presque, prix de départ 350€, je regrette de plus en plus de ne pas coudre.

Je suis enfin reçue.
J'apprends qu'en fait la patiente a été victime d'un AVC.
Je dis à mon dentiste que la vie est agitée dans son cabinet, que j'étais là lors de la perte du patient à la mémoire qui fiche le camp.

Il me regarde, sourit, c'est pourtant pas son truc.
Il m'annonce qu'il va me surveiller.
Il pense que j'ai "le mauvais œil".
Alors que si je viens, c'est parce que j'ai de mauvaises dents...

Cabinet dentaire, incidents, retard

19/09/2016

La fuite...

jeu lakevio,meurtre,indices

Léa regarda une dernière fois pour être sûre...

Elle avait essuyé les empreintes, toutes, elle en était certaine.

Elle avait essuyé le manche du couteau, le cœur au bord des lèvres.
Il faut dire que le couteau était toujours planté dans le corps de Nicolas.

Elle avait laissé Julien à côté de Nicolas, une plaie béante au front.
Elle ne savait pas si elle l'avait tué.
De toute façon, il ne l'avait pas vue.

Elle avait encore les mains tremblantes.
Pas d'avoir tué, elle n'avait pas réfléchi mais voir son mari au lit avec un homme lui avait fait perdre toute notion du bien et du mal.

Surtout que Nicolas n'était pas que l'amant de son mari, c'était aussi le sien.

C'était vraiment une sale journée...