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09/11/2015

Le Paris de Papa.

Hier, lorsque Tornade est partie, nous étions très fatigués.
J'ai mis ça sur le compte de sa vitalité car elle mettrait sur le flanc une équipe de scouts.

Sauf que ce matin, je n'ai pas récupéré.
Le Goût non plus.
J
'ai un peu de fièvre et mal partout...

Alors, je lis "Le Paris de Papa", celui de ma jeunesse.
Heureusement que les photos sont sympathiques car le texte me laisse sur ma faim.
Passer de 1947 à 1980 en trois pages.
Consacrer deux pages au "Ventre de Paris".
Commettre des erreurs impardonnables.
C'est moche pour les amoureux de Paris que nous sommes.
L'auteur aurait pu piocher son sujet avant de se lancer...

Nous sommes quand même un peu nostalgiques du Paris d'avant.
Ça doit être l'effet de l'âge.
Lorsqu'on est jeune, on ne se retourne jamais...

Paris, mai 68, jeunesse

08/11/2015

Quarante huit heures dans la vie d'une femme.

La grande est arrivée.
Je ne peux pas écrire "
La grande est arrivée-ée-ée. Sans se  presser-er-er"
Oui, elle fait un pas, j'en fais trois peut-être même quatre...

Le soir de son arrivée, elle a eu la bonne idée d'aller dîner avec des copains pendant que nous allions prendre l'apéritif chez une voisine.
Un immeuble qui perd ses pièces, ça permet un voisinage harmonieux.

Nous sommes revenus plus tard qu'elle et bien plus joyeux.
Le Chardonnay avait laissé des traces...

Le lendemain, nous sommes allés à Paris.
Une fois de plus nous n'avions pas de train.
Nous avons donc pris le bus pour aller rejoindre la Tornade à l'exposition Vigée Le Brun.
Elle a pris son temps, nous sommes arrivés pour voir les quelques salles que nous n'avions pas vues la première fois.
C'était bien.

Ensuite, nous avons traîné dans les passages parisiens.
Le passage Verdeau et son bistrot branché.
La Tornade voulait le faire sauter, d'après elle, un bistrot "bobo" n'a pas sa place dans ce lieu.

Elle n'a pas résisté à une broderie et j'ai bavé d'envie devant une maison de poupée à 290€.

paris,amitié,restaurant,plus encore.

Elle a fait un passage à la Mère de famille et, chose étrange et rare, à résisté à la tentation.

Nous avons fini à l'Orient d'Or.
C'était bon.
Même le personnel avait un côté alléchant...

Ensuite, il a fallu rentrer, le Goût ne connaissait plus sa ville, ce n'était pas "Coup de torchon" mais "Grosse fatigue"...

 

06/11/2015

J'aime Paris au mois de mai.

paris,mai,automne,novembre

Heure bleue est devenue folle vont se dire certains de mes lecteurs.
Ou elle pense de travers, ce qui n'est pas une nouveauté.
Je ne suis pas "bien-pensante", ça me gêne, ça me gêne.

Mais ce matin il fait doux, le ciel est tourmenté et hier je ne suis pas allée à Paris.

Je suis allée au Monoprix de la ville d'à côté !
Ils ont un Monoprix de luxe !
J'ai regardé les torchons, plutôt sympathiques mais déjà décousus ou mal cousus.
Alors, ramené au franc, près de trente francs un torchon "prédéchiré", ça me gêne. 

J'ai regardé la chemise grise que j'hésite à acheter depuis au moins trois semaines.
C'est non !
En la regardant en transparence, on voit déjà les futures déchirures...

J'ai traîné dans le rayon nourriture.
J'ai juste craqué pour un morceau de fromage.
Nous l'avons mangé sans pain et sans faim.

Revenir a été plus difficile, j'avais mal au dos et il "pleuvotait".
Sur la fin, on a fait du "bus stop" mais pas comme Marylin Monroe.

Passionnant, non ?

05/11/2015

Par petites touches

 

rien,saucisse au couteau et pis c'est tout

C'est mon exercice matinal.
Que vais-je écrire ce matin ?
Rien a dire mais rien de rien.

A part "j'ai trouvé enfin de la saucisse au couteau chez le boucher de la ville d'à côté !"
Pas mauvaise mais rien à voir avec celle de la rue Rambuteau...

Je suis allée chez Simply acheter du dentifrice et quelques bricoles.
En fait, je voulais l'album Mickey pour Merveille.
Je suppose que son père va bien jouer à coller les petites images...
Ça s'appelle reproduire.

Passionnant, non ?

04/11/2015

Hier, je suis allée à Paris

gl,lafayette gourmet,livres,touristes

Hier, je suis allée à Paris.
J'avais des envies de "saucisse au couteau" mais je n'ai pas eu le courage d'aller rue Rambuteau, là où elle est délicieuse et peu salée.

J'avais également besoin d'un cadeau d'anniversaire.

On a d'abord bu un café chez Illy car on a nos habitudes.
Ensuite, puisque je n'avais pas envie d'aller dans le Marais, on est parti chez Lafayette Gourmet.
Ça faisait des mois que nous n'y avions pas mis les pieds.
Je pense que ça a été la dernière fois hier.
C'est bizarre cette façon de transformer un truc qui fonctionne en "attrape touriste".

Déjà, lorsqu'on arrive, ça sent la friture, des pâtes, des sushis, des tapas, ça fume de partout.
Sans doute de quoi réconforter le touriste affamé qui va aller lâcher son bel argent en face.
Mais de saucisse au couteau, point.
Nous sommes partis lorsqu'on a vu des produits "Reflets de France".
Aller chez la Lafayette Gourmet pour trouver les produits Carrouf en plus cher, ce n'est pas la peine.

Puis nous sommes allées au rayon librairie des Galeries Lafayette.
Il n'en reste qu'un mini rayon, surtout des livres sur Paris et de la papeterie avec des morceaux du Tour Eiffel dedans.
Les vendeurs sont chinois ou arabes, car la clientèle attendue est chinoise ou arabe.
A chaque étage, un malheureux vous salue et n'a rien d'autre à faire.
Je n'ai rien trouvé à 0,54 €.
Oui, 0,54  €, c'est le somptueux montant de l'augmentation de ma retraite...

Alors, j'ai quitté les lieux et je suis allée acheter mon cadeau d'anniversaire à la FNAC.
Elle vend encore des livres, elle...