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26/11/2017

Délivrée, libérée

"Ce qui ce conçoit bien s'énonce clairement
et les mots pour le dire arrivent aisément."

J'ai vécu mai 68, j'ai cru à la liberté et je me suis bien amusée.
J'ai même eu la chance d'être raccompagnée chez moi en voiture.
Avec chauffeur s'il vous plaît !
C'est le "patron des patrons" de l'époque qui raccompagnait "la petite de la conférence".

Cet homme, fort galant et qui avait l'âge d'être mon grand père, a pris la peine de m'expliquer que notre génération ne devrait pas pavoiser car on nous reprendrait tout.
C'est fait, ils ont même repris plus.

Mais je ne suis pas une victime et je refuse de l'être.
Comme tout un chacun, j'ai vécu des moments pas drôles du tout.

Je n'interviendrai plus dans cette bagarre contre les hommes.
Sauf une fois, grave, je ne me suis jamais sentie menacée par un homme.
Ils font partie de ma vie, comme les femmes.

Je ne me suis jamais sentie exploitée, débordée parfois.

Je laisse donc la place aux damnés de la terre pour continuer le combat.
Pour ma part, on demande des bénévoles aux Restos du Cœur.
J
e pense que je serai plus utile.

 

 

 

09/11/2015

Le Paris de Papa.

Hier, lorsque Tornade est partie, nous étions très fatigués.
J'ai mis ça sur le compte de sa vitalité car elle mettrait sur le flanc une équipe de scouts.

Sauf que ce matin, je n'ai pas récupéré.
Le Goût non plus.
J
'ai un peu de fièvre et mal partout...

Alors, je lis "Le Paris de Papa", celui de ma jeunesse.
Heureusement que les photos sont sympathiques car le texte me laisse sur ma faim.
Passer de 1947 à 1980 en trois pages.
Consacrer deux pages au "Ventre de Paris".
Commettre des erreurs impardonnables.
C'est moche pour les amoureux de Paris que nous sommes.
L'auteur aurait pu piocher son sujet avant de se lancer...

Nous sommes quand même un peu nostalgiques du Paris d'avant.
Ça doit être l'effet de l'âge.
Lorsqu'on est jeune, on ne se retourne jamais...

Paris, mai 68, jeunesse