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08/11/2015

Quarante huit heures dans la vie d'une femme.

La grande est arrivée.
Je ne peux pas écrire "
La grande est arrivée-ée-ée. Sans se  presser-er-er"
Oui, elle fait un pas, j'en fais trois peut-être même quatre...

Le soir de son arrivée, elle a eu la bonne idée d'aller dîner avec des copains pendant que nous allions prendre l'apéritif chez une voisine.
Un immeuble qui perd ses pièces, ça permet un voisinage harmonieux.

Nous sommes revenus plus tard qu'elle et bien plus joyeux.
Le Chardonnay avait laissé des traces...

Le lendemain, nous sommes allés à Paris.
Une fois de plus nous n'avions pas de train.
Nous avons donc pris le bus pour aller rejoindre la Tornade à l'exposition Vigée Le Brun.
Elle a pris son temps, nous sommes arrivés pour voir les quelques salles que nous n'avions pas vues la première fois.
C'était bien.

Ensuite, nous avons traîné dans les passages parisiens.
Le passage Verdeau et son bistrot branché.
La Tornade voulait le faire sauter, d'après elle, un bistrot "bobo" n'a pas sa place dans ce lieu.

Elle n'a pas résisté à une broderie et j'ai bavé d'envie devant une maison de poupée à 290€.

paris,amitié,restaurant,plus encore.

Elle a fait un passage à la Mère de famille et, chose étrange et rare, à résisté à la tentation.

Nous avons fini à l'Orient d'Or.
C'était bon.
Même le personnel avait un côté alléchant...

Ensuite, il a fallu rentrer, le Goût ne connaissait plus sa ville, ce n'était pas "Coup de torchon" mais "Grosse fatigue"...