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04/10/2015

Aujourd'hui ce sera vide-grenier.

 

vide-greniers,enfants,jouets

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Aujourd'hui les enfants font un vide-grenier, comme d'habitude me direz vous.

Non, aujourd'hui ils sont exposants.
Ils vont tenter de vendre toutes les cochonneries qu'ils ont achetées en faisant d'autres vide-greniers.

Si je les trouve, je suis bien capable d'acheter un truc pour les filles.
Un truc qui va grossir le tas de trucs inutiles que je n'ai pas le droit de leur rendre ou de jeter...

12/09/2015

Voici venu le temps des rires et des chants.

Ce soir, nous allons fêter l'anniversaire de l'Ours.
Même chez lui les années commencent à compter, alors chez nous...

Je vous informerai, "si Dieu veut", de son cinquantième anniversaire.
Pour l'instant je reste dans le flou.
Un flou pas si flou que ça puisque l'Ours avait le droit de regarder  "l'Île aux enfants" lorsqu'il était petit.

Hier, l'Ours est allé avec sa fille au Musée de la Marine.
Puis ils ont attendu JJF dans un café à côté du travail de cette dernière.
J'ai dit à l'Ours qu'il avait explosé son budget sortie avec la limonade de la petite.
Il faut dire que JJF travaille dans "les beaux quartiers".

Le père et la fille aiment ces sorties où ils ne sont que tous les deux.
Ils s'évadent de la routine, ils se cultivent et, pour quelques heures, Merveille profite seule de son père.

L'Ours reproduit...
Son père voyageait beaucoup alors, l'Ours et moi nous donnions rendez-vous dans un petit restaurant russe de la Rue Saint André des Arts. Restaurant qui a hélas aujourd'hui disparu.
Et nous faisions les boutiques tous les deux...

Ces moments étaient trop courts, pour lui comme pour moi.
Je suis heureuse aujourd'hui qu'il se fabrique des souvenirs comme ceux-là avec sa fille.

Anniversaires, enfants, petits enfants

07/09/2015

Jamais le dimanche.

L'Ours ne téléphone jamais le dimanche.
Si un jour d'hiver notre chaudière fuit et que nous nous endormons pour notre dernier sommeil, je me
 demande combien de temps mettra l'Ours à réagir.

Il téléphonera le lundi, pensera que nous sommes partis traîner sur Paris.
Idem le mardi.
Le mercredi, il se demandera où il a mis nos clefs ou pensera alors que nous faisons la tête pour une obscure raison.
Je pense que nous serons déjà en sale état lorsqu'il se décidera à venir vérifier.

Si j'écris ça, c'est que je connais l'Ours, il lui arrive de passer juste à côté de chez nous, et de ne pas monter pour boire un café.
Lorsqu'il se trahit au détour d'une phrase, il a toujours une bonne excuse, comme hier par exemple...

 

01/09/2015

On est bien peu de choses.

Et je m'en suis encore aperçue hier lors de notre visite aux enfants.

Plus de "babie", ni de "mamie", des "non " en pagaille.

Snobés par Merveille qui a fini par convoquer son grand père dans la chambre pour lui raconter ses secrets.

Ensuite, j'avais les deux à côté de moi.
Une
qui voulait que je regarde les jeux de sa tablette pendant que l'autre voulait me montrer ses bébés.
Des barbies comme s'il en pleuvait...

J'avais l'impression d'assister à un match de tennis, un coup à droite, un coup à gauche.

Le Goût est comme son fils, rapidement il a envie de partir.
L'Ours trouve la visite courte alors qu'il fait la même chose lorsqu'il est chez nous...

La petite voulait partir avec nous pour la première fois.
La grande a parlé d'aller au cinéma et a promis de téléphoner pour nous raconter sa rentrée.

Nous avons rencontré les enfants au Monoprix.
Sans la petite, c'est la seule de la famille qui refuse d'y mettre les pieds, ça aussi, ça va être un souci.

Finalement, c'était bien.

Enfants, petits enfants, Le Goût

22/06/2015

Je hais la fête de la musique.

Je ne remercie pas Jack Lang pour cette brillante idée, lui qui doit passer cette nuit dans un coin isolé du Luberon.
Bon, "isolé dans le Luberon", c'est une figure de style car lui doit écouter de la musique qui lui plaît avec d'anciens ministres dont il n'est jamais question de baisser les revenus.

Revenons à la musique ou plutôt au bruit.

Hier, les enfants étaient venus pour la Fête des Pères.
Passage bref puisque JJF travaille tous les jours et que ce matin elle devait être sur place à 7 heures.

Merveille faisait de la calligraphie sur mon balcon.
Sa sœur m'ignorait.
"Tu veux dire bonjour à Mamie ?", réponse " Non !"
"Tu veux venir dans les bras de Mamie ?", réponse
" Non !".
En revanche
, des "Papiiii !" en cascade...

Elle n'appelle pas Manou non plus sauf lorsque son père lui passe un savon.
Là on entend distinctement : "Babou, à l'aide".
Oui, elle dit "A l'aide" !

Hier, donc "le Châtelain", un pékin comme les autres mais qui nous toise du haut de son insignifiance, recevait comme chaque année et le même "orchestre" sévissait.
Petite Sœur écoutait et regardait le petit blond du voisin.
La petite brune d'un autre voisin regardait les deux autres.
C'était une scène charmante.

Alors, hier soir, quand les enfants sont partis, fenêtres fermées nous avons regardé un film de Woody Allen que je n'avais pas vu et j'ai oublié "le Châtelain".

Il faut oublier les parvenus.
Leur accorder de l'attention, c'est leur faire trop d'honneur.
C'était bien...