20/09/2014
My Valentine.
1 - est-ce-que ça t'arrive de porter des chaussettes trouées et de te dire que tu t'en fous parce que personne n'est au courant ? Si oui, tu troues tes chaussettes plutôt au niveau du pouce ou du talon (ou ailleurs !) ?
Oui, elle sont toujours cachées par ma jupe. Mais pas souvent parce que déteste. Je sais que quelque chose ne va pas et ça me gêne.
Mes chaussettes ne se trouent pas, elle "filent".
2 - quels sont tes prénoms, les deux ou trois ? En es-tu content ? Pourquoi tu t'appelles comme tu t'appelles ?
Michèle.
"Qui est comme Dieu"
Le Goût dit "Et elle le croit, c'est le problème..."
Le second, même sous la torture, je ne le dirai pas.
3 - raconte-nous un détail précis de ton rêve de vie pour le futur ?
Qu'il dure...
Que je voie grandir les Merveilles et voir la tête de leur père lorsqu'elles présenteront un petit copain.
4 - elle est comment ta culotte pref' de pref' ?
Confortable ! La Tornade me les ramène toujours de son pèlerinage washingtonien annuel.
5 - qu'est-ce-que tu adores dans ta vie (à part tes amis et ta famille) ? Que voudrais-tu, au contraire, y améliorer ?
Le Goût.
Mais j'ai renoncé à l'améliorer...
6 - que veux-tu comme cadeau pour Noël ?
Vingt ans de moins.
7 - quel âge as-tu le sentiment d'avoir ?
Vingt ans de moins.
8 - dans quel lieu as-tu aperçu pour la première fois la personne dont tu es amoureux?
Au travail.
9 - tu es plutôt thé, café ou chocolat au p'tit dej' ? (ou autre chose !)
Ricoré. Rien que Ricoré.
10 - montre-nous la photo de tes dernières vacances qui te fait le plus rêver.
11 - quel blog aimerais-tu voir renaître de ses cendres ?
Ceux des débuts de 20six.
On se donnait des bonbons virtuels.
Si j'ai répondu à ce truc, c'est parce que je suis la "mère adoptive" de Valentine.
Valentine est comme tous les enfants, elle a grandi et je la vois moins parce que je n'habite plus en face de chez elle.
09:00 Publié dans Questionnements... | Lien permanent | Commentaires (16) | Tags : tags, valentine, amitié
19/09/2014
Je t’apporterai des orages…
Hier, il était question de faire du ravitaillement.
Le temps était bas et lourd, il faisait une chaleur étouffante et on entendait au loin gronder les premiers coups de tonnerre.
Le Goût, optimiste, a dit « Il faut y aller avant qu’il pleuve »
J’ai dit au Goût « Tu es fou ! On ne va pas sortir maintenant ! Hollande va parler, on va en prendre plein la g… ! »
Effectivement, à peine ma phrase terminée, toutes les eaux du ciel se sont abattues sur nous, même dans la maison.
Sacré Hollande, dès qu'on le voit, il pleut.
Après le déluge, nous sommes sortis acheter de quoi dîner. Au retour nous avons trouvé l’ascenseur en panne. Il avait été inondé…
Le Goût à appelé le service dépannage qui nous a assuré « un technicien viendra dans la soirée. »
J’ai trouvé Schindler plutôt gonflé de nous compter un appel surtaxé pour lui signaler que son matériel est en panne. Alors que les contrats d’entretien sont déjà payés dans nos charges.
On vit une époque formidable, peuplée de plein de rapaces…
10:28 | Lien permanent | Commentaires (17)
18/09/2014
Hier, je suis allée chercher Merveille à l'école.
Merveille sort à midi, nous lui avions promis un restaurant mais j'avais oublié que j'avais rendez vous chez le dentiste.
Il nous fallait un restaurant dans son coin pour que je puisse aller chez ses parents me laver les dents avant mon rendez vous.
Ce fut donc le sino-japonais.
C'est un vrai Chinois mais avec sushis.
Merveille l'adore, je le déteste.
Je n'y ai presque rien à me mettre sous la dent.
Je suis interdite de crevettes, je n'ai envie que de crevettes, et je dois me contenter de les regarder...
Merveille a bien picoré, elle a fini par une glace à la vanille jaune d'or, les colorants de notre enfance, le Goût, à la voir a été tenté et a pris une glace à la pistache d'un vert qui ne doit rien à la nature.
Puis nous avons emmené Merveille au Parc, pas loin de chez elle.
Merveille traînait les pieds, elle préfère Paris, les musées, les macarons au chocolat et son "cocktail de fruits rouges" à l'hôtel Concorde.
Le pire était à venir. Le sommet a été atteint lorsque Manou est arrivée avec Petite Sœur.
Je crois que ma Merveille n'a pas encore accepté que ses grands parents ne sont pas sa propriété exclusive...
09:57 Publié dans Jour après jour | Lien permanent | Commentaires (19) | Tags : suhsis; merveille, parc, restaurant chinois
17/09/2014
Je n'ai pas testé.
Je n'ai pas testé, je suis allergique aux chats.
Je les adore mais dès que le chat du voisin arrive chez moi, il est d'ailleurs chez moi en ce moment même, je pleure et je tousse.
Et le chat s'en fout.
Il est installé sur ma table et joue avec mes roses hybrides, vous savez ces fleurs qui ressemblent à des fleurs, ne fanent pas et sentent le pétrole,
Avec le Goût, je suis passée rue Michel Lecomte dans le Marais, la rue est étroite, le trottoir maigre et le bus pressé.
Ce n'est pas la rue la plus agréable de ce coin.
J'ai pilé devant une vitrine.
Il faut vous dire que ce coin réserve des surprises.
Les boutiques ouvrent et ferment plus vite qu'ailleurs.
Dans cette vitrine, donc, j'ai vu des chats tigrés, ils avaient l'air en forme, le poil brillant.
C'est un tout nouveau "bar à chats" qui vient d'ouvrir.
Je ne sais pas s'ils se laissent caresser car le chat choisit et le client paie.
J'ai même pensé que ce bar à chats allait peut être vivre moins longtemps que mes roses...
09:30 Publié dans Loisirs | Lien permanent | Commentaires (18) | Tags : bar à chats, marais, paris
16/09/2014
La pollution n'est pas une amie.
Il fait beau, il fait chaud, le Parisien bat des mains, squatte les terrasses et respire des particules.
De toutes petites particules qui se mettront dans ses poumons et qui un jour le conduiront à l'hôpital d'où il sortira avec une mauvaise nouvelle.
Les médecins, les professeurs appellent le gouvernement a prendre des mesures.
Le gouvernement évidemment ne fait rien.
Dans un pays en crise soumis au chantage des licenciements, il fait l'autruche, son choix est vite fait.
Un chômeur mort n'est plus un chômeur et un employé mort ne sera jamais un chômeur...
Lorsque deux personnes souffrant de troubles respiratoires se déplacent les jours de pollution importante, elles se font dépasser par tout le monde.
Si on croisait une tortue, on aurait l'impression qu'elle court.
Nos yeux pleurent, notre nez est bouché et on a un goût de ferraille dans la bouche.
Les jours de grande pollution, on dit aux personnes fragiles "restez chez vous", c'est beau, c'est généreux, vous en connaissez vous des chefs d'entreprise compréhensifs à ce point ?
Donc, aujourd'hui, on fait comme d'habitude et on avale ses %@µ£!?/! de particules sans "broncher" justement.
09:56 Publié dans Jour après jour | Lien permanent | Commentaires (15) | Tags : pollution, paris, bébé, asthme