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16/09/2014

La pollution n'est pas une amie.

Il fait beau, il fait chaud, le Parisien bat des mains, squatte les terrasses et respire des particules.
De toutes petites particules qui se mettront dans ses poumons et qui un jour le conduiront à l'hôpital d'où il sortira avec une mauvaise nouvelle.

Les médecins, les professeurs appellent le gouvernement a prendre des mesures.
Le gouvernement évidemment ne fait rien.
Dans un pays en crise soumis au chantage des licenciements, il fait l'autruche, son choix est vite fait.
Un chômeur mort n'est plus un chômeur et un employé mort ne sera jamais un chômeur...

Lorsque deux personnes souffrant de troubles respiratoires se déplacent les jours de pollution importante, elles se font dépasser par tout le monde.
Si on croisait une tortue, on aurait l'impression qu'elle court.
Nos yeux pleurent, notre nez est bouché et on a un goût de ferraille dans la bouche.

Les jours de grande pollution, on dit aux personnes fragiles "restez chez vous", c'est beau, c'est généreux, vous en connaissez vous des chefs d'entreprise compréhensifs à ce point ?

Donc, aujourd'hui, on fait comme d'habitude et on avale ses %@µ£!?/!  de particules sans "broncher" justement.pollution, Paris, bébé, asthme