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30/09/2015

Il venait d'avoir dix huit ans...

La réponse de la bergère au berger.

Evidemment que je regarde les hommes !
Jeunes, de préférence.
Mais je suis sélective, moi !

A mon grand regret, je trouve que les hommes ne sont pas si beaux que ça en France.
Il faut aller dans le Marais, qui reste un quartier "gay pour touristes", pour trouver quelques beaux spécimens mais ça ne compte pas.
Non, ils font de la gym, "Ah les garçons dans les vestiaires" comme dit la chanson... 
Ils vont chez l'esthéticienne et ils sont
parfois trop jolis.

En Belgique ?
C'est la même limonade qu'en France !
Le Belge ne me fait pas fantasmer...

Là où je me suis fait de belles "fractures de l'œil", c'est en Israël.
Même mon dentiste était joli garçon, un œil bleu et attentif penché sur soi, ça aide à supporter les soins.

Et les petits soldats ! Vous les regardez, ils viennent d'avoir dix huit ans, ils sont beaux comme des enfants, forts comme des hommes, comme dit une autre chanson.
Ils sont bronzés et l'uniforme mal coupé leur va quand même.

Alors oui, attablée devant une limonada, j'en ai eu des fractures de l'œil à les regarder passer.
Et le Goût a exercé son œil sur les jolies filles qui ne manquent pas.

Lorsque je suis rentrée, je trouvais que les gens étaient vieux, ils le sont encore plus aujourd'hui.
Et je fais partie du lot...
 

29/09/2015

Freud ! Au secours !!!

 

dentiste,merveilles,blogs

Hier, je suis allée chez le dentiste.
Je me demande de plus en plus si je ne vais pas changer de dentiste.
Ça fait d'ailleurs un moment que je me pose la question.

Ensuite, nous sommes allés chercher Merveille à l'école.
P'tite Sœur venait de se réveiller, alors nous l'avons emmenée avec nous.
Elle a souri tout le long du chemin.
Merveille était ravie.

Nous avons sorti P'tite Sœur de la poussette et elle est revenue en dansant, comme faisait sa grande sœur.
Surveillée par Merveille qui finit par être comme son père, une anxieuse patentée qui a peur qu'on enlève sa petite sœur.

Cette nuit, et c'est là que j'appelle Freud à mon secours, j'ai rêvé de blogueuses.
Des blogueuses que je ne connais pas.
J'étais du côté de mon école maternelle, j'avais une poussette, un enfant dedans que je ne connaissais pas.

Je devais partir en vacances avec une blogueuse dont je ne voyais pas le visage et une autre me faisait une scène.

Si, je me mets à rêver de blog alors que le mien me lasse que vais-je devenir ?

28/09/2015

Je sais que je ne suis pas un perdreau de l'année, mais...

Lorsque je parle de modifications apportées à des endroits, qui étaient au départ réservés à toute la population, je ne pleure pas sur le temps qui passe.
Il n'est pas question de nostalgie.
Je pleure sur la stupidité de ceux qui pensent qu'en proposant une offre différente et plus onéreuse, en ouvrant le dimanche, en transformant le personnel en "candidats au burn-out", les actionnaires vont gagner plus d'argent.

Ils ont juste oublié que pour acheter, il faut des sous, et que la poignée de Français qui a des sous se réduit comme peau de chagrin.
Avec un salaire médian de 2461 € par mois, vous le voyez, le Français, aller faire ses petites courses à la Grande Epicerie ?

Un cadre gagne en moyenne 3202 € par mois.
C'est d'ailleurs pour cette raison que les cadres ont découvert le camping et que les vacances des Français sont de plus en plus courtes...

Quant aux employés, ils doivent se débrouiller avec 1502 € par mois en moyenne.
Ça explique en partie pourquoi le Parisien est de plus en plus riche et que les autres s'éloignent de plus en plus.
Il n'est même pas rare de venir travailler du Mans à Paris chaque matin.

Quant le BHV se transforme en magasin de luxe alors qu'il a subi un échec énorme avec son "BHV Homme", il chasse l'ancienne clientèle, le bricoleur du dimanche, la clientèle du quartier sans avoir sa nouvelle clientèle.
Il fait comme la Samaritaine.
Le résultat est prévisible...
Vous avez vu la Samaritaine ?

Et lorsqu'on transforme un Monoprix en "magasin de luxe" sans connaître vraiment le quartier, on se plante.
J'ai un superbe Monoprix de ce style dans mon coin.
On n'y fait jamais la queue et les produits n'y sont même pas toujours de première fraîcheur.
En revanche, le Monoprix ancien style où je vais est toujours bondé.

27/09/2015

La fibre est revenue mais pas l'inspiration...

J'ai à nouveau la fibre mais pas les mots.

J'ai passé de bons moments au Parc Monceau, dans un café de la rue de Lévis, ailleurs aussi.
C'était bien.

Je dois aller chez le dentiste lundi, j'irai donc chercher Merveille à l'école.
Son humeur sera bien.
Ou pas.
On peut être snobé.
Merveille peut se tenir à l'écart des "adultes".
En ce moment elle fait ça même avec son père...

Mais la chose la plus surprenante, la plus dérangeante, la plus...
Je ne trouve pas le mot, c'est le changement survenu dans "mon" Monoprix de la rue de Lévis.
"Mon premier Monoprix", celui qui m'a rendue accro pour la vie.

Alors j'ai eu envie de pendre quelques gamins.
Ceux sortis d'une grande école de commerce.
On voit bien qu'ils ne connaissent rien au quartier qu'ils défigurent.

Le Monoprix de la rue de Lévis était l'un des plus vieux.
Il n'était pas très attirant mais j'y trouvais facilement le miel du Goût, ma ricoré et quelques petites bricoles.
C'est un Monoprix à "petites vieilles à fourrure" qui ont la main leste pour vous étouffer votre plaquette de beurre.
Ces douairières sont riches et avares depuis toujours.
Alors un beau rayon de fromages, sous verre en plus, ça ne les intéresse pas...

Les nouveaux arrivés, eux, croulent sous le poids les loyers ou des remboursements alors un rayon boucherie de luxe ne va pas les intéresser.
En plus, ils n'ont pas le temps de cuisiner car ils travaillent sans cesse pour payer leur adresse.

Après avoir défiguré mon BHV, ils viennent de détruire mon Monoprix...
Ah les imbéciles !

 

 

26/09/2015

Pas de Net ? Pas de note…

Avant-hier soir, nous sommes partis joyeux pour des courses lointaines.
Quand nous sommes revenus à la maison l’œil du Goût a été attiré par la petite lumière rouge clignotant sur la « Livebox » qui n’était plus « live » du tout.
C’était ça !
Plus de Net !
Il faut dire que chez nous, plus de Net, ça veut dire plus de Net, plus de télé, plus de téléphone…
Nous avons prévenu l’amie que nous venions de quitter et qui s’est aussitôt écriée « ciel ! Comment aller vous survivre ! »
Nous avons survécu.
Nous sommes allés chez le voisin, celui qui venait de s’abonner.
Nous lui avons fait remarquer que depuis qu’il avait « la fibre », nous on ne l’avait plus…
Nous avons allumé la radio et fait comme avec la télé, nous avons papoté comme si elle n’existait pas…
Cette note paraîtra lorsque « la fibre » sera revenue.