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07/03/2018

Heureusement, il a fait beau.

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Il a commencé à pleuvoir hier lorsque nous avions atteint la place Clichy.
Pas une petite pluie, non le truc qui trempe.
Alors on a attendu le bus, c'était long, nous étions à peine abrités par une boutique.

Au départ, je voulais aller au Musée Gustave Moreau.
Il était fermé.
A défaut ? Celui de la Vie Romantique.
Il est en travaux.
Je n'avais pas envie d'Orsay.

Mais assis sur un banc au square des Batignolles, au soleil, à regarder les crocus sortir de terre, c'était bien.

J'ai oublié d'acheter des timbres...

J'ai fini un livre que j'avais acheté depuis presque deux ans et qui n'était pas mal, sans plus.

Finalement, la vie de retraités n'est faite que de petites choses, de petits bonheurs à engranger.

Revivre le : "Mais Mamie, pourquoi ce café, c'est plein de bobos".
Je sais, elle voulait l'hôtel d'à côté mais Macron est passé par là.
Il a fallu lui expliquer ce qu'était un "bobo" et que ce n'est pas normalement péjoratif

Les "Mamie, je t'aime" de la petite.

Globalement ma vie est chouette.

16/02/2018

J'ai le clavier paresseux.

Finalement, nous ne sommes pas allés à Orsay.
J'ai préféré le musée Delacroix.
Le quartier est beau.
Bon, à 30 000€ / m², il peut...
La Parisienne de la rue Jacob est élégante et dédaigneuse.
Pourtant parfois, elle devrait être plus modeste.

Le musée est ravissant.
Le jardin conserve quelques petites fleurs résistantes et le personnel de ce musée est charmant.
Nous avons eu la chance d'avoir eu une leçon privée sur Delacroix et l'Orientalisme.
Un jeune homme passionné et passionnant nous a dit ce qu'il savait avec talent.

Quant à la place Fürstenberg, elle est toujours aussi attirante.

Alors, nous avons dû, pour reprendre pied dans la réalité, aller boire un café au Québec.
Un vrai "troquet" parisien.
Des "sirop cognac" en pagaille, des buveuses de bières qui massacrent Barbara.
On y redevient langue de vipère très rapidement.

C'était bien, on retournera au Québec.
On a parfois besoin de réalité...

Delacroix, Musée, Orientalisme

28/04/2017

Hier.

Hier, avant d'aller voir notre expo, trop petite et avec une queue terrible à l'entrée que le Goût à court-circuitée avec sa carte, nous sommes allés déguster des raviolis dans une cantine chinoise.

Cet endroit se trouve rue au Maire dans le 3ème arrondissement, le vrai quartier chinois de Paris, celui où les Chinois se sont installés dès 1920.

J'en connais plusieurs qui n'auraient pas eu envie de les déguster.
Par exemple, cette lâcheuse de Mab qui aurait eu tort...
Ils sont faits devant vous, cuisent dans un bouillon délicieux, on fait la queue devant cette gargote pour avoir le droit de les faire retomber dans son assiette.
Je suis très maladroite avec les baguettes...

Nous sommes allés ensuite rue Elzévir.
Près du musée Picasso il y a le musée Cognacq-Jay.
Installé dans un hôtel particulier, ce petit musée possède une collection permanente intéressante mais les expositions sont toujours un peu décevantes.
Les salles y sont trop petites et les tableaux pas assez nombreux.
Le Goût a traduit "à la volée" pour une vieille dame une inscription en latin sur le fronton d'un arc de triomphe à la gloire de Napoléon lors de sa visite à Venise.
Pour ça il est gentil, le Goût.
Plus que pour ranger ses affaires...

Ensuite, nous nous sommes promenés dans ce quartier qui a vu naître l'Ours.
Il ne me tente guère, trop de touristes et de sacs Vuitton dans ce quartier.
Ça lui a fait perdre son âme.

Et dire que le maire de Paris ferme un espace culturel, rue des Francs Bourgeois, pour le consacrer à la mode.
Comme si des boutiques de vêtements à longueur de rue montraient la richesse culturelle du Marais...
A croire que le promeneur ou le touriste n'est là que pour acheter...
Il y a quand même de belles maisons à Paris, non ?

ravioli,marais,musée

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27/04/2017

Retrouver Venise.

Pour oublier la politique et ses guerres fratricides, j'ai décidé de partir à Venise.

Venise est à Paris au Musée Cognacq-Jay, un charmant musée parisien niché dans le Marais.

Le ciel est bleu, il fait froid juste comme j'aime.

Je vais quitter Elisabeth de Gramont, femme battue par son mari pendant vingt ans.
Elle trouva l'amour dans les bras de Natalie Clifford Barney.

Venise, Paris, Musée, Marais

09/04/2016

L'atelier en plein air.

Finalement après avoir changé d'avis samedi dernier, nous sommes allés voir les impressionnistes au bord de la mer.

J'adore le musée Jacquemart-André mais je suis souvent déçue par leurs expositions.
Les salles sont trop petites.
Il y a trop de monde, surtout des groupes.
C'est la même chose à chaque fois.

Pour éviter un grand groupe, nous avons commencé par la fin.
J'ai aimé "L'hôtel des Roches Noires" que j'ai connu hôtel, puis demeure de Marguerite Duras mais comme d'habitude, j'ai surtout revu les collections permanentes.

Je ne me lasse pas d'aller regarder Rembrandt, et surtout les deux Canaletto, ceux que j'ai toujours envie d'emporter.
Je vous rassure, les deux Canaletto et le Rembrandt ne sont pas les seuls richesses de ce musée.

J'avais juré, craché, "juste un café ! "
On ne peut pas résister à une fresque de Tiepolo.
Ni à un gâteau chocolat et caramel...

Ensuite, nous avons badé tranquillement jusqu'à la Madeleine pour prendre un bus.

J'étais ravie de ma journée.

Le Goût, toujours pratique, a dit : "Tu sais ma Mine, pour la drague, le musée, c'est idéal ".

Comme l'exposition était la proie des retraités, j'ai pensé que le Goût était un sage.
Pour le plaisir, il regarde la jeunesse,.mais si jamais il a besoin de se recaser, il donnera dans son âge...

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