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07/08/2014

Hier, il a plu

Hier, il a plu à verse.

Nous avons profité d'une accalmie pour faire du ravitaillement dans la ville presque déserte, nous n'avons pas fait la queue, j'adore ces moments où la ville m'appartient.

J'ai reçu une photo des enfants, la petite dort dans sa poussette, comme sa sœur au même âge, l'air de la montagne sans doute, la grande sourit, pendant que sa sœur dort, elle a ses parents rien que pour elle.

J'ai abandonné over-blog, il avait bloqué mon blog pour que je passe à la nouvelle version, elle ne me plaisait pas du tout, une pub agressive, presque une obligation pour obtenir des renseignements de passer en mode paiement.

Je refuse de payer pour écrire mes minuscules moments de vie.années 50.jpg

06/08/2014

La fin de la journée Télérama

Nous avons quitté le " BHV/Marais " sans regret.
Ce magasin n'est plus le grand magasin de ma jeunesse.
Le manque d'écoute et la stratégie de jeunes gandins sortis d'écoles de commerce me font craindre un sort semblabe à celui de la Samaritaine.
Le BHV homme, grâce à ces gens, est déjà un fiasco total...

Le Musée de la Chasse et de la Nature étant fermé le lundi et n'ayant pas envie d'aller au MAHJ, nos pas nous ont conduit vers la Seine.
Vers un salon de thé que nous aimons beaucoup.
Là, je ne sais ce qui m'a prise, j'avais chaud, j'avais envie d'un café glacé et je me suis surprise à le demander "grec".

Je n'ose vous décrire la chose, un truc marronnasse, compact, on aurait dit du fromage caillé avec du nescafé.
J'ai goûté, j'ai laissé et j'ai demandé une carafe d'eau à la jolie serveuse.
Nous avons papoté avec elle, pour la deuxième fois de la journée, une pétasse a déversé sa mauvaise humeur sur cette jeune femme charmante, seule pour s'occuper de la terrasse.
Le patron lui, était assis à boire en discutant...

Nous avons apporté notre compassion à la jeune femme, et nous sommes repartis.
Quand ça veut pas, ça veut pas.

Je signale à Lakevio que le salon de thé a l'air d'avoir changé de propriétaire.
D'habitude, il est fermé au mois d'août et on ne sent plus la main de fer de la femme qui était là d'habitude.

Nous sommes rentrés dans notre banlieue déserte.
J'ai toujours aimé le désert.
Seule notre boulangerie était rouverte.
Et ça, s'est bien...

Je suis là aussi. Lasse aussi...



Mais j'essaie de déménager.

Si ça vous plaît, je mets à jour ma liste de favoris ici.
Sinon je retourne là-bas mais ça me saoule un peu.