05/10/2018
Le saviez-vous ?
Vous venez de passer un délicieux moment au Petit Palais.
Vous avez bu un café à 2.50 €, un café "Sodexo".
"Sodexo", la boîte qui fait quatre repas pour maison de retraite pour 4€22.
Vous vous en moquez, le patio est superbe et les derniers moineaux de Paris sont au rendez vous.
Vous ne voyez pas le temps passer et, lorsque vous arrivez à Saint Lazare, vous n'avez qu'une solution : acheter une baguette industrielle chez Paul.
C'est le seul "boulanger" encore ouvert sur votre route.
Vous n'êtes pas loin de chez Ladurée.
Vous savez le "pâtissier" où les touristes font la queue pour acheter des macarons que vous n'aimez pas.
Vous n'aimez pas, non parce que c'est Ladurée, c'est juste que vous n'aimez pas les macarons.
Au hasard d'une recherche sur un grand patron, fauteur de chômage et avide de dividendes, vous apprenez que Paul et Ladurée ne sont que deux entreprises de l'industrie alimentaire appartenant au même homme.
Vous êtes plutôt satisfaite de laisser tous ces trucs là aux touristes...
10:06 | Lien permanent | Commentaires (17) | Tags : paul, ladurée, musée
18/11/2016
Je ne ferais pas ça tous les jours.
Je ne ferais pas ça tous les jours.
Enfin, si c'était nécessaire, bien sûr que je le ferais...
Mais hier, alors que le Goût est râleur mais plutôt zen, il ne tenait pas en place.
Nous avons retrouvé Manou et sommes partis dans un coin qu'on aime bien.
C'est un coin qu'on connaît parce que nous avons habité pas loin mais qu'on ne regarde jamais parce qu'on n'y va que pour des raisons désagréables.
Ma cousine travaillait à la clinique juste à côté et elle venait renforcer notre troupe au moment du scanner.
Elle me manque.
Elle qui rêvait de prendre sa retraite dans le Sud est enterrée dans la banlieue Nord.
Comme d'habitude, on a attendu, attendu, on a réussi à boire un café.
Mais vite car le Goût était pressé d'avoir ses résultats.
Comme d'habitude, nous étions dans les derniers...
Il est revenu avec le sourire.
Brusquement, nous avions faim.
Au coin de la rue il y a une boulangerie Paul, on s'est assis à la terrasse et on a grignoté une fougasse rassise.
Même le macaron de Manou n'était pas du jour.
C'est la deuxième fois en quinze jours que ça nous arrive.
Dans une autre boutique, nous avions besoin de pain pour le petit déjeuner, il était rassis, il a fallu le faire griller.
Tout comme la "cramique".
On essaie de nous refiler du vieux, dans les boulangeries comme dans les élections...
10:46 | Lien permanent | Commentaires (20) | Tags : scanner, paul, paris, résultat