Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

08/09/2017

Végan si, végan non

végan, jouets, vie


Je ne suis pas une grande carnivore mais avouez qu'une entrecôte grillée sur des sarments de vigne, ça a
de la gueule et c'est bon.
Des brochettes tendres sur un barbecue, c'est top aussi, non ?

Sinon, je mange peu de viande.
Essentiellement du poulet grillé.
Et sans m'attendrir plus que ça sur ces bestioles.
On laisse crever des enfants dans les rues et on pleure sur un poulet.
Aucune sensibilité pour le sort de ses congénères.
Plein de sensiblerie pour celui des animaux.
Notre civilisation est folle...
Les nazis adoraient les animaux, les hommes, c'était une autre affaire.
Un de mes neveux est tombé dans le véganisme.
Il a d'abord supprimé les jouets de ses enfants car un enfant ça doit s'ennuyer et trouver ses propres ressources en lui.
Apparemment, il n'a pas bien compris que si un enfant doit s'ennuyer, un enfant ne doit pas QUE s'ennuyer...
Bon, il ne les envoie pas encore ramasser leur nourriture dans les bois mais ça vient.
Il a changé de ville, ses enfants ont changé d'école
Il a supprimé le gluten dans l'alimentation de la maisonnée.
Ignorant, comme la plupart des adeptes du sans gluten, que l'allergie au gluten est une allergie grave et rare.
Le naturopathe consulté a même conseillé de garder le gluten sinon, c'est là que l'allergie risque de se développer.

J'attends avec impatience que l'adepte de la non exploitation de l'animal se demande un jour si finalement le légume ne souffre pas.
Je le vois d'ici, pétrifié par le cri silencieux mais déchirant de la carotte écorchée vive par "l'Econome" ou la panique du petit pois séparé de ses frères.

Je trouve que notre civilisation, si on peut encore parler de civilisation, est en fin de course.

Pendant que ceux qui ne manquent de rien se privent de tout plaisir sauf celui d'entasser du fric, les autres les regardent manger leur verdure en rêvant d'un steack.

05/09/2015

La ferme des animaux.

 

animaux,vegan,abattage,corniaux

Hier le bus nous a lâché à Opéra.
Un accident avait détourné les bus alors nous avons marché jusqu'à Saint Lazare.
Là, j'ai vu des pékins moyens, j'aurais tendance à dire en dessous de la moyenne, des militants "L214 Ethique et Animaux".

J'avais l'œil mauvais, j'aime les animaux.
Je donne toujours aux mémés à chats et à chiens des boîtes pour les bêtes qu'elles nourrissent.
Et je ne prends pas la marque la moins onéreuse.
Les chats ont droit à de petits moments de gourmandise...

Mais là, voir cette bande de couillons avec leur pancarte, qui m'interpellent sur ma consommation de viande, qui avoisine pas grand' chose !
Ça a fait ressortir toute ma combativité, à moi qui
hier soir ai mangé du poisson.

Ils sont pires que Brigitte Bardot ceux là.
D'ailleurs, ils devraient se méfier, elle castre les ânes...
Ils sont vegan et veulent qu'on devienne comme eux. L'un d'eux a osé me parler de la souffrance de l'animal "lorsqu'on l'égorge, car on l'égorge !".
J'en ai conclu qu'il parlait d'une sorte d'abattage rituel et qu'une population particulière était visée. Toujours la même...

J'ai demandé à cet aimable couillon si les hommes n'avaient pas plus besoin d'aide.
Peut être que dans nos pays riches on mange trop de viande mais on trouve tellement d'endroits sans nourriture du tout...
Il pourrait se rendre utile ailleurs, et il a répondu que les guerres n'étaient pas son problème et que mettre des réfugiés dans des camps le gênait moins que la souffrance des animaux.

Je me suis rappelée et lui ai rappelé que les nazis aimaient beaucoup les animaux mais qu'ils détestaient les vieux, les fous, les juifs et bien d'autres.

Je ne sais pas si ce crétin aimait les animaux, une chose est sûre, il n'aimait pas les gens.