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15/12/2015

Hier, c'était bien.

Hier, nous avons proposé d'aller chercher Merveille à l'école.
Ce fut accepté avec joie...

Nous espérions que sa sœur serait réveillée de sa sieste pour pouvoir la promener.
Elle dormait comme une bienheureuse.
Cette petite vit sa vie.
Elle n'a pas l'âme tourmentée, elle dort, joue et mange.
Elle n'obéit guère mais toujours avec le sourire.

Contrairement à l'habitude, la classe de Merveille est sortie la première.
Je n'ai pas vu sa maîtresse.
Merveille a expliqué que sa maîtresse avait eu des contractions, qu'elle avait passé le dimanche à l'hôpital, mais que ça allait bien, qu'il fallait juste que sa maîtresse se repose.
J'ai apprécié l'évolution, à son âge, nous n'étions même au courant des éventuelles grossesses de nos maîtresses et encore moins de possibles contractions...

Nous avons fait un grand tour, sommes passés voir B. à l'école maternelle.
Merveille a toujours la nostalgie à fleur de peau ce qui ne l'a pas gênée pour engloutir un énorme éclair au café.

De retour chez elle, j'avais les deux avec moi.
D'un côté, je mettais des robes aux poupées de la petite et je répondais aux questions en anglais de la grande.
Honte à moi ! Je n'ai pas reconnu "Frère Jacques" !
Je dois avouer que ma petite fille chante aussi faux que sa grand' mère.

En sortant, nous sommes passés par le Monoprix et pour la première fois, nous étions à peine douze dans le magasin.
Nous avons discuté avec deux caissières, elles pensent que les clients font leurs fonds de placards pour pouvoir fêter Noël.
Avec plus de 10% de chômeurs et des emplois mal payés, leur analyse me paraît plutôt juste...

Les filles, école, promenade.