30/12/2017
Un bout d'an aux pommes...
Hier, j'ai abandonné le Goût qui devient capricieux avec l'âge.
Il est comme les bébés, faut toujours s'arrêter pour lui donner du carburant et parfois le nourrir...
Avec La Tornade, on est parti chez Pierre Frey.
Elle aimerait trouver du tissu pour faire des coussins, un bleu particulier ou un vert tout aussi particulier.
Me fiant à ma mémoire et à ma splendeur passée, nous sommes allées rue des Petits Champs.
Leur boutique en est devenu le siège social.
On a vu juste quelques tissus en vitrine pour nous allécher.
Contrairement au week-end de Noël, la ville bruissait et avait retrouvé son côté tour de Babel.
On reconnaissait les Chinois qui suivaient docilement le drapeau de leur guide.
Suivis par les traînards aux sacs de marque qui les transforment en homme sandwich pour le bonheur d'un seul homme -merci Patron-...
Après un passage chez Clooney et un autre chez Lafayette Gourmet, qui nous propose des produits Carrouf, -merci Patron-, nous sommes rentrées pour trouver un Goût mourant.
Le fait de mourir ne l'a pas empêcher de faire honneur au repas et de dormir d'un sommeil de bébé.
Ce pauvre homme consumé par la fièvre n'avait pas vu que la fenêtre de la chambre était restée ouverte en grand, cause de ses frissons et de sa phtisie galopante.
Comme d'habitude, si je vous dis que c'était bien, vous le croyez ?
10:51 | Lien permanent | Commentaires (20) | Tags : le goût, paris, la grande