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15/06/2018

Pour l'instant, je suis vivante et je vis à Paris.

galerie vivienne,librairie de paris,rue de lévis

Lorsque vous perdez quelqu'un que vous aimez, la vie vous pousse alors vous vous sentez encore plus vivant.

Le passage Vivienne en travaux avec son lierre en plastique.
Les glaces enfin surtout la crème chantilly du Bistrot Vivienne.
Les épices de notre döner préféré dans le 10ème arrondissement de Paris.
Un passage rue Saint Anne pour acheter des graines de Sésame.

Un petit tour à "La librairie de Paris", une librairie bien élitiste et acheter deux petits romans policiers avec des couvertures colorées, pas trop le genre de la maison...

Se demander si le Goût ne va pas refaire son clafoutis.
Demander au Goût de refaire son clafoutis.
Et même d'en faire deux car nous devrons partager un des deux avec deux amis.

Des plaisirs minuscules qui remplissent nos journées.

JJF enfin sortie de l'hôpital, ne sachant toujours pas de quoi elle souffre mais heureuse de retrouver ses filles.

L'espoir d'un barbecue dans le jardin de l'Ours en espérant un jour sans pluie.

Pas de raton laveur.

Galerie Vivienne, librairie de Paris, Rue de Lévis

06/07/2016

Je ne m'en lasse pas.

Paris, le pain de la Bourse, Galerie Vivienne

Paris, le pain de la Bourse, Galerie Vivienne

Hier, nous avions rendez-vous avec une amie à Paris au "Pain de la Bourse", l'ancien café de ma jeunesse transformé en truc faussement convivial.

C'était bourré, pas une place, même à la grande table.
Le Goût nous a emmené au pas de charge, enfin pour moi, manger un döner.

Ne me dites pas que vous êtes surpris.

Nous avons quand même pris notre café au "Pain de la Bourse".
Un café gourmand.
Le Goût a eu raison de ne prendre que son café serré, nous lui avons donné la plus grande part de nos gourmandises.

Puis, nous avons marché dans Paris.
Un tour dans la Galerie Vivienne, on lui fait une beauté mais les boutiques ferment quand même.
Il n'y a que t
rès peu de touristes, aucun supporter.
C'est la première fois qu'à cette époque de l'année je n'entends parler que le français.

A un moment, nous étions sur les grands boulevards et nous nous sommes fait la réflexion que ce coin de Paris avait, à nouveau, cet air de débine qu'il avait quand nous étions jeunes.
Paris perd ses habitants mais perd surtout son âme.
Vouloir une ville musée en période de crise, c'est encore un projet de gens qui ne sont pas des Parisiens, des piétons de Paris.