28/04/2015
C'est notre destin ?
Passer la passerelle, c'est changer de ville.
Deux villes se proposent toutes deux "frontalières" de la nôtre.
Une avec des impôts locaux vraiment moins élevés que dans notre coin.
Une autre avec des impôts locaux encore plus élevés que dans notre commune.
Il nous faut rester de notre côté de passerelle même si notre côté nomade nous pousse à aller humer les fleurs de l'autre côté.
Marie Floraline a raison, c'est une question d'adresse.
C'est pour que Merveille puisse aller dans la meilleure école de la ville.
Seulement voilà, l'Ours a parlé de la mettre dans le privé.
L'Ours ne doute jamais de rien.
Il croit qu'il va arriver et qu'on va immédiatement inscrire sa fille.
Il rêve...
Il sera placé, comme les autres, sur la liste d'attente.
Je me demande même si un parrainage, comme à l'Ecole Alsacienne, ne serait pas un plus.
Hier, l'Ours a appelé et nous a dit : "Ca fait plus d'un an et demi que vous êtes là, vous allez bientôt déménager ? ".
Un ami a téléphoné et a dit la même chose...
Sommes nous si prévisibles ?
Rêver de déménager est courant.
Mais visiter un seul appartement en dix-huit mois tient du miracle !
Nous n'avons pas le couteau sous la gorge comme dans l''endroit calme et arboré où rien n'a changé depuis notre départ.
Merveille et sa sœur sont bien plus importantes qu'un déménagement de plus...
09:39 | Lien permanent | Commentaires (19) | Tags : passerelle, trois villes, essouflement, déménagement