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03/08/2018

J'ai survécu.

Je sais, je ne suis pas malade.
Je ne suis que garde malade...

Lorsque le Goût est malade, un rhume, une bronchite, une gastro, il meurt.
Mais pas en silence.

Si c'est grave, deux vertèbres cassées, un corset pendant huit semaines en plein été et qu'il fait chaud, on ne l'entend pas.
S'il a un cancer, on ne sait même pas s'il est là, il vaque comme si de rien n'était.
Sinon, aïe aïe aïe !!!

Hier, le Goût a dormi presque tout la journée, il ne s'est même pas rendu compte de mon absence.
L'Ours a téléphoné, il n'a pas entendu.

Pendant les rares moments où il ne dormait pas, il cherchait sur le Net, il souffre donc :
- De la maladie du légionnaire (en fait une bronchite).
- D'une crise de goutte ( en fait d'un bleu à la cheville).
Il a à peine plus de 37° ce matin, et  sur la cheville, il ne sait pas comment il a fait ce bleu.

Bon, je vous l'accorde, il tousse beaucoup, et il n'a plus beaucoup de capacité respiratoire mais il devrait relativiser.
Il a un fils, une femme, une belle fille, tous avec de l'asthme.

Ce matin, il va mieux, il va quand même aller à son rendez vous chez le médecin.

Le Goût supporte tout sauf de souffrir d'une maladie banale.

Le Goût, maladie, chaleur, Paris