28/01/2017
Paris, Ville Lumière...
On a vu ça hier...
Même qu'on a dû sortir un euro chacun pour pouvoir satisfaire un besoin naturel.
Ce n'est pas la peine de transformer les appartements parisiens en appartements pour touristes si c'est pour traiter les touristes comme le Parisien de base.
"Les futurs attentats feraient fuir les touristes" disent ils.
J'ai plutôt l'impression que c'est la façon de les traiter qui les fait fuir.
Hier, il faisait doux, nous sommes partis en promenade dans ce Paris qu'on aime malgré tout.
Le Goût commence à avoir une assez jolie collection de photos de boutiques qui refusent de vendre.
Regardez donc le truc qu'on nous a servi lors d'une pause.
Ce café ignoble et ce machin qui ressemble à une éponge.
Le Goût, toujours étrange, a mangé le sien et une partie du mien, il avait l'air d'aimer ça.
J'ai vraiment épousé un type bizarre...
Paris devient une ville où le Parisien devient rare.
Il faut être plus qu'à l'aise pour y vivre.
Ne restent que les grosses bagnoles, quelques titis parisiens et quelques vieux qu'on n'a pas encore réussi à chasser.
Si le touriste préfère les villes chaleureuses, ce n'est pas à Paris qu'il continuera à venir.
"Paris est une fête. " disait Hemingway.
"Une fête pour qui ?" demande Heure-Bleue.
09:35 | Lien permanent | Commentaires (28) | Tags : paris, amabilité, tourisme