Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

12/09/2022

Devoir de Lakevio du Goût N°136

Devoir de Lakevio du Goût_136.jpg

Cette toile de Gustave Courbet dite « Jo la belle Irlandaise » me dit quelque chose.
Pas seulement parce que « Jo, la belle Irlandaise » a permis à Gustave Courbet quelques privautés.
Mais vous, qu’en avez-vous à dire ?
J’aimerais que cette note commençât par « À quoi Bon ? Enfin… Vous ne supposez pas que ce n’était pas
en apparence ? »
Aussi qu’elle finît par « J’ai bien été le premier à vérifier l’exactitude de la chose, quand j’étais votre amour…
en apparence. »
À lundi j’espère…

A quoi bon ? Enfin... Vous ne supposez pas que ce n'était pas en apparence ?

Ce n'est pas une apparence !
Encore une fois une rousse a servi de modèle à Courbet pour "L'Origine du Monde", ce tableau caché pendant des années derrière une tenture dans le cabinet de Lacan.

Que dire de cette femme ?
Elle est belle et alors !
Elle est à l'aise dans sa nudité.
C'est peu...

Je n'ai guère envie de broder sur cette femme qui ne m'inspire rien.

Certains aiment les rousses, d'autres les traitent de sorcières...
Apparence encore.
Certaines sont belles, d'autres pas.
Elle a été aimée parce que rousse et peu farouche.
Comme n'importe quel biographe, je suppute...
Pourtant, j'ai bien été le premier à vérifier l'exactitude de la chose, quand j'étais votre amour... en apparence.

28/06/2021

Les brunes ne comptent pas pour des prunes.

Ldevoir de Lakevio du Goût_87.jpg

J’aime ce pastel de Sally Strand.
Cette « rouquine » me parle.
C’est un sujet – pas un objet – sur lequel j’ai toujours aimé m’étendre.
N’y voyez rien de leste quoiqu’on puisse penser de cette tournure de phrase.
Mais, mon dieu ! Que cette épaule et ce cou pâles me parlent et m’appellent !
Et vous ?
Que vous inspire ce pastel de Sally Strand.
Bien que je vous aie déjà parlé de cette rousse, je pense avoir encore quelque chose à en dire.
Pourtant, ça fait des décennies que je vous en parle mais je suis intarissable car il y a encore tant à découvrir.


Le Goût et les rousses...
Leur grain de peau, leurs taches de rousseur, Monsieur aime les rousses.

Et pourtant rappelez vous Marylin Monroe et Jane Russel dans "Les hommes préfèrent les blondes".
Je ne suis pas sûre que mon amateur de rousse leur aurait tourné le dos...

D'ailleurs, la petite rousse devant son miroir, vous croyez qu'elle se trouve belle ?
Elle s'examine car elle a rendez-vous.
Un premier rendez-vous avec un beau brun.

Alors elle hésite.
Elle se trouve la peau terne et est sûre qu'un énorme bouton va sortir au plus mauvais moment.

Elle hésite encore.
Que porter ?
Surtout pas de décolleté car les rousses et le soleil ne font pas bon ménage.
Elles ne bronzent pas, elle rougissent.

Pourquoi n'a t-elle pas rencontré ce brun en automne, au moment où elle est à son avantage ?

La voila prête à suer sous le soleil comme un "Eskimo".

Qui parlera du calvaire des rousses, là, sous le soleil exactement ?