11/11/2017
Je me pince régulièrement.
Je me sens comme la mère de Napoléon, je me pince régulièrement en me disant : "pourvou qué ça doure".
Nos voisins "rockers" sont pour l'instant des voisins parfaits.
Ils ne rentrent que lorsqu'on se lève, dorment aux heures ouvrables et sont ailleurs la nuit.
Quand par hasard on les croise, on a affaire à de charmants jeunes gens.
Notre immeuble a un "chat de garde".
Un chat qui vient se frotter contre vous et réclame des caresses lorsqu'il vous voit.
Alors que le bail comporte dix pages d'interdits pour trois lignes de choses permises, comme payer, réparer, entretenir, des poussettes stationnent sur les paliers en attendant leurs occupants, les placards des paliers abritent des jouets, des guitares et même un aspirateur.
Hier, nous sommes partis pour aller découvrir un coin du XVIIème dont je ne connaissais que le nom.
On a évidemment terminé au Monop' de la rue de Lévis.
Bien sûr, on ne vit pas dans un conte de fées.
L'appartement est petit, l'entrée cumule tous les défauts des années 70 et le bail précise que nous n'avons pas le droit de toucher au sol.
On s'est dit que c'est peut être pour préserver les futurs datations des chercheurs qui expliqueront, en détail, comment vivaient les humains du XXIème siècle.
D'ailleurs, c'est un signe, nous n'avons pas une seule fois regardé un site de location depuis un mois que nous sommes ici...
On est bien...
10:11 | Lien permanent | Commentaires (25) | Tags : paris, rock, chat