11/04/2018
Hier, ça m'a plu, il n'a pas plu.
Hier, il n'a pas plu !
Ce n'était pas gagné.
Nous sommes partis vers le XVIIème arrondissement sous un prétexte futile.
Le Monoprix de la rue de Lévis a un rayon parapharmacie et j'avais besoin de bricoles.
Bon prétexte pour une promenade dans les rues de mon quartier d'enfance.
Nous avons remonté cette rue commerçante, enfin de ce qui en reste.
Dans cette rue, que je connais depuis toujours, il y a encore des "Cours des Halles" dont les vendeurs proposent des fruits et légumes d'une voix de stentor.
Il reste bien des commerces de bouche mais pas autant qu'avant.
Le "schmattès" a envahi la rue, à croire qu'on s'habille plus qu'on ne mange.
Ces boutiques proposent toutes la même chose, des robes fleuries qui ressemblent à ce qu'on trouvait sur les stands de fripes des marchés des années 50.
Je regarde, je cherche, je ne trouve rien.
Dans ces boutiques, si on a plus de 16 ans et qu'on dépasse le 36 on ressort les mains vides...
Après un café bu en terrasse, puis nos achats, j'ai présumé de mes articulations pour le retour.
Il fut bien plus laborieux que l'aller et on a dû prendre le bus pour les deux dernières stations.
Manque de chance, il n'a pas été jusqu'à destination.
Une seule station a été desservie à cause d'une intervention des pompiers à côté de chez nous...
Pour les filles, je ne sais pas si elles partent pour les vacances.
L'Ours a une nouvelle formule qui marche pour tout quand il réserve sa réponse : "C'est compliqué".
JJF va aller à Garches, on va l'anesthésier, lui regarder l'intérieur du pied, je n'en sais pas plus.
"C'est compliqué"...
09:38 | Lien permanent | Commentaires (16) | Tags : paris promenade jjf, le temps qui passe