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01/07/2018

Vous aviez raison.

J'essaie de lire "Un appartement à Paris" de Guillaume Musso.

Je ne peux pas dire que je suis emballée.
Vu qu'en matière de forme il touche le fond, je ne m'attache même plus à la forme...
Et quelle forme ! Des citations nombreuses, des phrases qui fleurent l'atelier d'écriture mais l'atelier besogneux.
Quant au fond, l'enquête, bof...

Je suis certainement partiale car je lis trois livres en même temps et aucun ne me convient.
Je lis en même temps Tom Wolfe, l'auteur brillant du "Bûcher des vanités".
J'en lis un petit recueil de chroniques : "Sam et Charlie vont en bateau".
J'en suis à la première chronique et j'ai déjà arrêté.

Je lis aussi, enfin... Je lis... c'est vite dit, un livre prêté par une amie.
En fait j'avance laborieusement dans "La disparition de Stéphanie Mailer".
J'avais dévoré les deux premiers mais là, j'en suis à la moitié, et je fais une pause.
Heureusement que mon amie n'est pas pressée de récupérer son livre...

La chaleur m'empêche de lire.
Elle ne m'empêche pas de mordre, je suis d'une humeur de dogue et je bafferais tous ceux qui me parlent.
Même ceux qui me regardent.
Et le Goût qui est là, tranquille, comme un poisson dans l'eau...
Je le boufferais !

J'ai des périodes comme ça où je n'arrive pas à lire et où mon prochain me donne des envies de génocide...

Pourtant aujourd'hui, il va me falloir faire un effort.
Je n'ai pas l'intention de mettre le nez dehors, la chaleur me tue.

Je voudrais être à Tel-Aviv, il fait chaud mais tout est prévu pour ça, et j'habitais à côté de la mer.
Bon, elle est chaude, on a l'impression que la terre entière a pris un bain avant vous mais une "limonada" bien fraîche servie à l'ombre d'une terrasse, ça aide à supporter des températures extrêmes.
Surtout servie par un type brun et mat, beau comme tout...

Musso, ennui, canicule