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08/06/2019

Je suis en froid avec Clooney.

Le vendeur de capsules a fermé sa boutique de la rue Tronchet depuis un an environ.
Le temps passe si vite que je ne me rappelle plus quand exactement la boutique a déménagé.

Le personnel était charmant, je pouvais m'installer avec mon livre, boire un petit café pendant que le Goût faisait le plein de café.

Depuis, ils se sont installés dans la gare Saint-Lazare.
Terminé le côté convivial !
On est dans un self service, loin de l'image glamour du début.

Chaque fois, je m'installe au bar, enfin un bar, je suis gentille, quelques tabourets, un vague comptoir et une personne qui change tout le temps.
Chaque mois, c'est une nouvelle personne qui propose du café à ceux qui ont un sac de la maison.
Je n'ai jamais le sac nécessaire puisque j'attends le Goût.
On ne me propose donc plus jamais le café qu'on me proposait rue Tronchet.
Je suis transparente et c'est délibéré.

L'autre jour j'ai pesté après cet état de choses.
C'est la malheureuse au bar qui a pris et j'ai alors eu droit à un café.

De retour à la maison, je suis allée sur la page FB de Clooney, pas le vrai l'autre, et j'ai exposé mes griefs.
Réponse de la marque ? " Nous faisons remonter votre plainte et croyez que la personne sera sanctionnée."

J'ai repris mon clavier, j'ai défendu la jeune femme.
J'ai mis en cause la politique de la marque qui se défausse sur son personnel alors que c'est une politique délibérée.
Mon café est de plus en plus cher et le côté convivial a disparu, c'est ce que je mets en cause.
C'est bizarre, j'attends encore une réponse.

Café, politique de la marque, message