Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

05/04/2021

Souvenirs, souvenirs.

devoir de Lakevio du Goût_75.jpg

Vous ne connaissez peut-être pas le jardin des Tuileries.
Il n’a pas changé depuis les années soixante et je le reconnaîtrais entre mille.
Nous n’étions pas encore des mamies et des papys.
Mais je suis sûr que nos âmes sont mieux préservées que nos corps.
Que vous dit cette photo des années soixante ?
Elle me dit, comme le chantait François Hardy « Tant de belles choses » ...
À lundi, vous avez sûrement quelque belle histoire à dire.

C'est le temps de l'amour, le temps des copains et de l'aventure...

Tu parles d'une idée de regarder de vieilles photos un jour de pluie.
Oui, on était jeune, mince et niaise.
Je n'arrive pas à me souvenir du prénom de la troisième, la délurée.
Elle "l'avait fait", elle trouvait ça "pas terrible", rapide et elle n'avait rien ressenti.
Patricia et moi restions dubitatives, nous n'avions que des sœurs.
Nous n'avions jamais vu un "zizi" alors "le faire"...

Nous vivions certes une chouette époque.
C'était celle de notre jeunesse mais pour le reste, nous étions des dindes plutôt bien élevées.

Il faut dire que le jour où je suis devenue "une jeune fille", j'ai eu droit à une éducation sexuelle rapide :
- Méfie toi ma fille, les hommes ne pensent qu'à "ça".
Finalement ça n'est pas arrivé tout de suite mais ce n'était pas si désagréable.

Bon, je ne me souviens toujours pas du nom de la troisième...

Commentaires

Bon, déjà "ce n'était pas si désagréable".
Tu n'as pas tout perdu...

Écrit par : le-gout-des-autres | 05/04/2021

J'avais pensé à la même chanson que toi ;)
Quant à l'éducation sexuelle, la mienne fut encore plus brève que la tienne, ma mère ne m'en a jamais parlé.

Écrit par : Fabie | 05/04/2021

c'est malin, maintenant cette chanson va me trotterdans latête toute la journée :-) :-)

Bon lundi !

Écrit par : Ambre | 05/04/2021

ah oui un soir on avait du sang qui coulait, on se demandait ce que c'était et s'il fallait en parler et quand on a enfin osé, la mère a dit: ah c'est normal! ça va t'arriver tous les mois!

Écrit par : Adrienne | 05/04/2021

Alors toi ! tu m'as fait rire ! finalement il y a bien des filles aussi qui ne pensent "qu'à ça" :-)

Écrit par : Praline | 05/04/2021

Le temps des interrogations et des confidences entre copines...
Inoubliable !

Écrit par : La Licorne | 05/04/2021

L'obsession chez les filles dans les années 70, ça semblait tourner autour de ça en effet (ou des garçons...d'avoir un petit ami) mais qui le faisait réellement étant donné les risques? Ma mère a confié le rôle d'éducateur à l'école. En sixième, on a eu une matinée pédagogique sur tout ça. Pour les règles, elle a vraiment assuré. Mais la matinée pédagogique ne nous a quand même pas informées sur le clitoris. Il y avait des lacunes... bref, je suis restée longtemps une dinde :-)

Écrit par : Pivoine | 05/04/2021

Si tu es sur la photo, dis-nous où tu es...
Ma jeune marraine m'avait prévenue dès mes onze ans : "un jour, tu feras pipi du sang" et je m'attendais à des flots ! Ma mère ne m'en a jamais parlé et a été sidérée lorsque je l'ai mise au courant (j'avais juste 12 ans)
Quant à "le faire"... la porte m'aurait été grande ouverte et refermée définitivement en cas de pépin. D'ailleurs, j'étais assez gourde sur ce plan-là, ma marraine n'y avait fait aucune allusion.

Écrit par : Gwen | 05/04/2021

On attend un deuxième texte alors pour le nom de la troisième .

Écrit par : delia | 05/04/2021

C'est vrai que la question existentielle des filles, c'était, où, quand, comment, avec qui, la première fois ? Je me dis que certaines ont eu de la chance, dont moi - contrairement à une de mes soeurs - de n'avoir pas eu à en subir les conséquences parfois dramatiques. Faut dire que les mecs se contrefichaient bien de ce qu'allaient devenir les filles, une fois la chose faite et leur statut de mâle conquérant enfin affirmé...
Tu es sur la photo ? Avec les photos en noir et blanc, on ne voit pas la couleur des cheveux..

Écrit par : julie | 05/04/2021

A tous, c'est quasiment de la fiction et je ne suis pas sur la photo.

Écrit par : heure-bleue | 05/04/2021

« Les hommes ne pensent qu'à "ça" »
et les filles ?
« Les filles ne parlent que de "ça"»

Écrit par : alainx | 05/04/2021

Les souvenirs restent malgré le temps qui nous éloigne de ces années 60 ! bonne semaine. Bises.

Écrit par : ELISABETH | 05/04/2021

Je ne sais pas si les filles étaient si niaises que ça à cette époque car on a vu émerger le féminisme. Celui qui nous a valu quelques victoires sur ces messieurs.
En tout cas, les filles étaient minces, bien coiffées, bien vêtues... ce n'est plus le cas de nos jours. Cette mode street wear et les dégâts de la malbouffe conjugués ne sont pas beaux à regarder dans la rue...

Écrit par : Armelle | 05/04/2021

Une photo bien représentative de l'époque. Oui, le jardin des tuileries marque "au fer rouge" tous ceux qui l'ont traversé au moins une fois.

Écrit par : Chinou | 05/04/2021

c'était surtout la peur de tomber enceinte qui nous retenait ..... mais il y en avait quand-même qui était loin d'être niaises... les amoureux avait intérêt à se montrer patient ! :)

Écrit par : Emiliacelina | 05/04/2021

Ma mère ne m'a jamais rien dit. Ni personne. J'ai dû m'instruire par moi même, théoriquement d'abord puis passer à la pratique.

Écrit par : ang/col | 05/04/2021

Je ne me souviens pas qu'entre mecs nous parlions de ça. Mais sans doute vivais-je dans un milieu très conservateur. Je me souviens juste d'un ami qui, à dix-huit ans, était auréolé du prestige d'avoir pu embrasser une fille et lui caresser les seins...

Écrit par : Passion Culture | 06/04/2021

Ce n'était pas si désagréable que ça...
Dis moi que c'est un doux euphémisme. Ou une litote...
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆

Écrit par : Célestine | 06/04/2021

En seconde nous avons été au mariage d’une fille de notre classe. Je trouvais ça jeune et n’en ai réalisé la raison que bien après...

Écrit par : Dom | 07/04/2021

Les commentaires sont fermés.