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11/05/2019

Jour de pluie.

Lorsqu'il pleut à Paris ou ailleurs, qu'on n'a pas de voiture et que l'homme qui partage votre vie refuse d'en avoir une, vous ne sortez plus que pour faire du ravitaillement.
Il refuse car, dit-il, à son âge c'est être un danger public.
En fait il n'aime pas conduire alors il a sauté sur l'occasion...

Mais avec une voiture, on évite d'être trempé par un bus qui vous envoie une magnifique flaque d'eau boueuse.
Ça vous évite ainsi d'employer un langage peu châtié pour dire ce que vous pensez de ce ?!/§*@# de chauffeur de bus de mince.

On évite aussi de se faire presque ficher en l'air par un obsédé du portable qui avance le nez sur son smartphone.
Quand ce n'est pas par une trottinette électrique, trottinette qui sera abandonnée au milieu de la chaussée ou du trottoir.

Donc on s'occupe, on lit, des livres d'abord...
J'en profite pour vous signaler que les "Agatha Raisin", ça se lit dans l'ordre, le premier étant "La quiche fatale".

Puis on lit des blogs.
Il y a les optimistes, ceux qui se relèvent après chaque déconvenue et qui continuent leur route malgré les vicissitudes de la vie.
Les autres, ma foi, ceux qui se plaignent, ceux qui détestent, ceux qui haïssent, je les laisse à leurs aigreurs...

Et puis il y a le samedi...
C'est le jour où j'évite les musées, les grands magasins, les "Gilets Jaunes".
Il faudrait peut être que je ressorte ma broderie, si je la retrouve.
J'ai commencé un abécédaire il y a...
Je ne sais même plus à quelle lettre je m'étais arrêtée.
Je me rappelle seulement que c'était loin de la lettre "Z"...

Pluie, téléphone, avantages, inconvénients