03/01/2019
Cinquante nuances de grammaire.
Celles et ceux qui souhaitent que le féminisme ne rende pas moins compréhensible notre langue qu’elle ne l’est déjà devraient écouter cette émission.
On y apprend que l’écriture inclusive doit être réservée à certains usages.
On y apprend que tout féminiser peut être contre-productif.
L’exemple cité de la fable « Le corbeau et le renard » est très parlant.
On y apprend la différence entre débattre et faire la guerre.
On y apprend ce qu’est le « ni trop ni trop peu ».
14:19 | Lien permanent | Commentaires (8)
Commentaires
Je suis bien d'accord avec toi... Trop c'est trop et frise le ridicule ! Les sage-femmes masculins ont bien accepté la dénomination de leur profession...
Pourquoi une femme professeur ou docteur en médecine se trouverait-elle diminuée ?
Ceci me rappelle la série américaine "Madame est servie" où un Tony d'origine italienne était "homme de ménage" de la belle Angela...
Re-bonne année à vous mes amis...
Gwen
Écrit par : Gwen | 03/01/2019
Oh misère ! si un jour on devait voir nos belles fables et autres poésies écrites ainsi, tout charme et toute poésie auraient disparu !
Je n'ai pas pu écouter l'émission (ma petite-fille est en train de lire à voix haute !) mais j'espère qu'il y aura suffisamment de décideurs pour ne pas céder à cette utopie.
Écrit par : Praline | 03/01/2019
Comme quoi certains mélangent égalité et égalitarisme... Le second versant dans l'absurdité... Les "bien-pensants de a langue française se ridiculisent...
Bonne année.
Écrit par : Hyôtoko | 03/01/2019
quelle idée...vraiment ! Je suis du même avis que Gwen.
Écrit par : emiliacelina | 03/01/2019
Toi aussi je t'aime. Je vous aime tous les deux vous le savez. Non, je ne pleure pas....ou juste un tout petit peu quoi...
Écrit par : Imaginer | 03/01/2019
ça prêterait plutôt à rire, si ce n'était à pleurer de vouloir à tout prix triturer notre langue si belle et la dénaturer jusqu'au ridicule.
Écrit par : Sophie | 03/01/2019
Quelle horreur, je n'ai même pas pu lire jusqu'à la fin !
Écrit par : Mathilde | 04/01/2019
Heureusement le ridicule ne tue pas, mais parfois il le ferait qu'on le lui pardonnerait. Je suis bien d'accord pour l'égalité, mais les dérives qu'on lui fait prendre m'énerve . La sagesse et la bonne mesure devraient être plus souvent dans les débats. Mais peut être cette question de l'écriture inclusive donnera t elle lieu à un référendum prochainement ?
Écrit par : delia | 05/01/2019
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