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11/05/2017

Ecrire ou ne pas écrire.

Toutes les vies sont extraordinaires même les vies de "simples citoyens".
Je déteste être traitée de "simple citoyen".
Je me demande toujours ce qui permet à ces journalistes ou ces hommes politiques de nous traiter de "simples citoyens".
Eux qui n'auraient aucune audience et encore moins d'importance sans nous.

Je ne suis pas Marguerite Duras qui put écrire des pages et des pages dans son roman "La douleur" sur l'agencement de son placard à produits d'entretien.

Je me souviens seulement de l'eau de Javel.
Je n'ai plus le livre et je n'ai pas envie de le racheter pour savoir sur quels autres produits elle écrivait.

Il me serait facile d'écrire sur les chaussettes orphelines si le problème n'avait pas été réglé chez nous par l'achat exclusif de chaussettes noires.

Je pourrais écrire sur les pulls du Goût, ils font des "bouloches".
Tous, absolument tous !
Je ne sais pas si le Goût est créateur de "bouloches" ou si les pulls sont aujourd'hui de mauvaise qualité.

Finalement on peut écrire sur n'importe quoi.
J'ai écrit sur n'importe quoi...