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11/01/2016

Janvier est un mauvais mois.

Janvier est un mauvais mois.
D'abord, c'est celui de la galette, deux minutes dans la bouche, trois ans sur les hanches.
C'est bien que j'en mange de moins en moins...

C'est aussi celui des taxes imprévues.
Un rappel pour les poubelles.
Si on calcule au nombre d'habitants de notre immeuble malgré les appartements toujours à louer, les éboueurs doivent être payés une fortune.

C'est aussi celui des virus divers et variés.
Et hop ! Un petit antibiotique en même temps que le petit déjeuner.
Le tout passe difficilement, l'antibiotique, le virus et le petit déjeuner.
Mais le virus de cette année a un avantage indéniable : il coupe l'appétit.

En plus, cette année on se sent encore plus vulnérable.
Une hécatombe ! Un par jour ! Chanteurs, philosophes, chefs d'orchestre meurent.

Lorsque c'est Galabru qui s'éteint dans son sommeil à quatre-vingt-treize printemps, on trouve la chose normale.
Ce matin, c'est David Bowie à soixante-neuf ans et ça, ça fiche la trouille !
Les soixante-neuf ans, vous les sentez arriver !
Vous voulez même les fêter !

Mais janvier, c'est aussi le mois des soldes.
En même temps que le virus vous avez chopé une petite chemise.
La petite chemise avec un col, le truc le plus difficile à trouver.
Mais c'est tout et comme je ne sors pas, le ne peux pas regarder pour les Merveilles.
Puis, 
cette année janvier nous offre des giboulées, je sais c'est étrange et les cosmos fleurissent déjà.
Donc on ne sort pas et on fait des paris sur le suivant.
Gréco ? Aznavour ? Bedos ?
Ça nous occupe...

Soldes, galettes, morts, taxes