02/01/2015
Ca commence doucement, très doucement.
J'aurais pu appeler ma note "l'éloge de la paresse" mais j'ai usé et abusé de ce titre.
2015 ne commence pas sur les chapeaux de roue, il commence doucement, on lit des âneries, on raconte des âneries, on se chamaille pour des âneries, ça ne vole pas haut.
On ne parle même pas expositions, ni cinéma, la culture sera pour plus tard.
Se laisser vivre ne donne pas des billets lyriques.
Sur ce billet d'une finesse incomparable, je repars boire mes ricorés.
11:04 Publié dans Jour après jour | Lien permanent | Commentaires (15) | Tags : début d'année, occupations, paresse