20/07/2015
Encéphalogramme plat..
La chaleur ne me vaut rien.
Je me traîne, Je lis. Je repasse un peu, un tout petit peu avec un ventilateur qui brasse de l'air chaud.
Je joue à des jeux idiots sur l'ordinateur.
Je ne vais plus m'installer dans des endroits climatisés.
Même chez Picard, sauf si j'ai la tête dans un bac, il fait chaud.
Je n'ai même plus envie d'écrire.
C'est dire.
Aujourd'hui, puisque la météo n'annonce que 27°, je vais aller voir les filles.
Chez elles c'est l'enfer.
La terrasse est au soleil toute la journée.
Le ciel est gris. J'entends le haut parleur de la gare.
Ça veut dire que les pauvres travailleurs, ceux qui ont encore un travail, vont encore galérer.
La semaine dernière lorsque je suis allée à Levallois, la voix nous annonçait un truc qui ne sert à rien : "Le train en direction de Paris-Saint-Lazare vient de quitter la gare de La Garenne Colombes".
La belle affaire ! Est il nécessaire d'avertir le quartier que le train part de la gare voisine ?
C'était ma chronique d'un jour ordinaire de canicule.
08:28 | Lien permanent | Commentaires (17) | Tags : vacuité, lecteure, petit tout petit rien