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22/10/2020

Oui mais non.

Je déteste cette année !
Pourtant je fais des efforts.
Nous voyons des amis "dans le respect de la distanciation physique".
Nous buvons des cafés "en laissant nos coordonnées".
Je vis "l'année du Covid-19", c'est moins sympa que "l'année du cochon" ou "l'année du rat", elles aussi importées de Chine.

Je supporte de moins en moins de croiser des gens avec le masque sur la bouche ou le menton voire pas de masque du tout.

Il n'y pas de profil type, hier une mamie qui avait bien dépassé les quatre-vingts printemps m'a dit : "Oh ! J'ai oublié ma muselière ! ".
Elle aurait dû se rappeler qu'elle était une proie rêvée pour la réa...

Je recommence à marcher au milieu de la rue comme pendant le confinement.
Évidemment, j'évite un "sans masque" pour me faire doubler de l'autre côté par un autre "sans masque".

Chaque jour, les chiffres grimpent.
On a dépassé aujourd'hui le million de malades en France malgré ceux qui continuent à croire que ce truc n'est qu'une "petite grippette".
Mon fils, qui a toussé pendant quatre mois, a perdu le goût et l'odorat et qui traîne encore une grosse fatigue, pourrait donner un cours aux complotistes de tout poil.
Complotistes qui ont en général la chance de vivre encore dans des régions épargnées.
Régions qui d'ailleurs se rétrécissent comme peau de chagrin...

Avec le Goût, on a prévu d'aller chez le coiffeur car j'entends de plus en plus souvent parler de durcissement des mesures, voire de reconfinement pour sauver Noël.

Je n'aime vraiment pas 2020.

Paris, couvre feu, Paris n'est plus une fête.