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25/04/2017

"Voter" dit elle.

Le 7 mai, j'irai voter.
Surtout pour empêcher que le Front National qui crache sur toutes les institutions mais en profite largement -cherchez l'erreur-, accède à la présidence de la République.
Pour empêcher que madame Le Pen devienne la présidente, non de tous les Français, mais celle d'un terrier au fond duquel se croiront à l'abri les plus naïfs.

Elle est finaude, elle caresse le malheureux de le sens du poil.
Celui qui a peur de l'Europe.
Celui qui a peur de son voisin.
Celui qui vit dans un "coin calme et arboré" et ne peut pas s'enfuir.

Vous nous voyez faire comme les Anglais ?
Anglais qui sont bien embêtés aujourd'hui d'avoir quitté l'Europe.
Leur monnaie a baissé.
Le "pan
ier de la ménagère" a augmenté, lui.
Pas son contenu, son prix...

J'aurais aimé "voter pour", pour changer.
Mais le 7 mai,  je serai surtout forcée de "voter contre" car je pense à mon père.
Il a connu "la peste brune".
Comme le père du Goût, il en est revenu plus ou moins fou.
Il avait cette idée fixe de nous tuer si les Russes prenaient Paris.
Je ne veux pas que Merveille et P'tite Sœur vivent dans un pays gouverné par le Front National, sous un régime qui risque de rendre les hommes fous.

Ne vous leurrez pas, ils n'ont pas changé.
L'Ours et moi avons eu affaire à
son service d'ordre.
Des méchants, de vrais méchants avec des barres de fer.
Nous n'avons dû notre salut qu'aux vigiles de la boutique "Colette" qui nous on fait entrer et ont refermé les grilles et la porte derrière nous.

Je n'ai pas un blog militant mais j'irai voter le 7 mai.
Je dois au moins ça à la mémoire de mon père.

vote, Marine, Emmanuel, Jean Luc