La promenade.
27/09/2021
Que diable Frédéric Bazille est-il en train de dire à Camille ?
Cette toile de Monet, dite « Les promeneurs » me pousse à me demander pourquoi Camille se détourne.
Et Frédéric Bazille ? Pourquoi semble-t-il faire des efforts pour être convaincant ?
Vous vous demandez ce qu’il dit et je me demande où il veut en venir mais lundi nous en saurons peut-être plus…
- Frédéric, vous savez combien je vous suis reconnaissante, vous avez sauvé mon mari, il peint à nouveau sans relâche et ses toiles commencent à vendre.
- Camille, c'est votre mari mais je suis votre ami à tous deux,vous savez que sa peinture est gaie mais son âme tourmentée.
- Mon ami, je connais le caractère pointilleux de Monet, son obsession pour le détail, heureusement qu'il profite du soleil et du jardin, ses mains le font souffrir.
- Vous n'êtes pas sans connaître le sentiment que j'éprouve pour vous, sentiment que je m'efforce de combattre sans relâche.
- Brisons là, mon cher Frédéric, Monet a besoin de moi, abandonnez cette idée et promenons nous simplement...
- Camille, n'oubliez jamais, je vous chéris tous les deux !
5 commentaires
En fait, on ne sait pas trop si Bazille en pinçait pour Camille ou non.
Beaucoup le pensent, l'Histoire est plus discrète sur le sujet.
Les douleurs sont souvent atténuées par le soleil, que Claude en profite, sans avoir à se soucier de qui profitera de Camille. Car il semblerait qu'avec Bazille, elle ne risque rien.
c'était très chaste la drague de l'époque...mais dans l'intimité c'était sans doute plus hard! lol
j'aime beaucoup Monet. bisous.
Dans mon jeune temps on appelait cela « se prendre un râteau »
ça n'empêchait pas de revenir à la charge avec d'autres ustensiles…
le brave homme :-)
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