J'espère que tout ira bien... Combien d'année? Je crois que c'est difficile de faire confiance à la médecine dans des cas pareils, mais avons-nous le choix? Amitiés
confidence puisque tu es passée chez moi : il y a maintenant un peu moins de vingt ans, j'étais pile poil à ta place, et mon mari à la tienne ... je ne peux pas pour autant répondre à ta question, il n'y a que le temps, c'est bateau, mais c'est vrai pourtant...
Jamais... Ma soeur a à peine 30 ans ; Deux trépanations au compteur, et autres joyeusetés. Elle ne s'habitue pas aux IRM, scanners et autres qui reviennent, et reviendront toute sa vie...
Drôle d'impression en lisant ce com' signé Elvire. J'ai craint un début de schizophrénie parce que je n'avais pas allumé l'ordinateur et puis comme rien ne correspond à mon expérience c'est troublant !
Nous sommes deux Elvire donc...
Mais pour revenir à ta note vous êtes entrés dans une période de contrainte des examens divers, jamais plus l'insousciance et le vague sentiment d'être éternel... toujours l'inquiétude et la menace. Pourtant, entre les contrôles je vous souhaite à tous deux beaucoup de capacité à apprécier les bons moments.
On te détartre surtout le système circulatoire à l'iode...
Mais c'est mieux que la scintigraphie qui te prépare ton cancer de la thyroïde de dans 10 ans pour vérifier que celui de dans tout de suite n'est pas encore là ...
L'essentiel ce sont les autres moments qui font que c'est moins aigu , moins proche ...et croire envers et contre tout car la force de l'esprit est indispensable .
C'est pas comme le cancer , bien sûr mais une embolie pulmonaire ça peut être radical (id un infarctus) eh bien le Gazou il en a fait 4... et si quelqu'un se fait du souci c'est moi, absolument pas lui...
Alors si vous pouvez TOUS LES DEUX profiter des périodes entre examens divers... bon, je l'ai déjà dit. Cela dépend du verre à moitié plein ou vide...
Croire en la guérison.
Croire, malgré ces rendez-vous, ces moments angoissants et difficiles à supporter.
L'espoir Heure Bleue, l'espoir, c'est ce qui fait vivre.
Amitiés.
Ce n'est pas évident mais occupez-vous, faites des choses que vous aimez faire ensemble: pique-nique, balades, sorties diverses... ça vous changera les idées et vous relativiserez peut-être un peu. Bisous plein de courage
On ne s’habitue pas, je crois, on vit avec. Avec l’angoisse qui revient avant chaque examens (qui heureusement vont s’espaçant), avec les jambes qui flageolent lorsque le résultat est bon, puis, en attendant le suivant, on y pense moins, moins souvent. Reste une façon différente de concevoir sa vie, pour les plus chanceux (où les plus forts), le désespoir quelque fois pour d’autres. Peut-être cela s’approche-t-il de la vie dans un pays à la paix précaire, tu le sais mieux que moi. Courage… espoir...
C'est simple : jamais. Pardonne-moi cette formule lapidaire (et de te tutoyer), mais en plusieurs années maintenant, c'est toujours pareil. On passe 3 mois sans examens : on se demande pourquoi "on n'est pas surveillé mieux que ça", et quand "on l'a enfin", on crève de trouille à se dire "est-ce que ça va être bon ou pire ?". Baisser la tête ou la lever, serrer les dents pour passer en force ou profiter du présent, il n'y a pas de bon moyen. Juste celui qui te convient le mieux.
Amitiés.
23 commentaires
Jamais je pense... en tout cas pas comme un simple detartrage..
J'espère que tout ira bien... Combien d'année? Je crois que c'est difficile de faire confiance à la médecine dans des cas pareils, mais avons-nous le choix? Amitiés
je pense qu'on ne s'habitue pas. On est anxieux avant et très soulagé après (s'ensuit probablement une période d'euphorie).
Si on pouvait s'y faire... ça revient ponctuellement, comme pour nous dire : n'oublie pas de profiter de chaque instant !
Peu de paroles, de signes de ma part, mais suis de tout coeur avec vous...
Jamais ! J'en ai fini avec le scanner et IRM, mais je continue avec les analyses sanguines et c'est jamais!! On y va toujours avec appréhension !
confidence puisque tu es passée chez moi : il y a maintenant un peu moins de vingt ans, j'étais pile poil à ta place, et mon mari à la tienne ... je ne peux pas pour autant répondre à ta question, il n'y a que le temps, c'est bateau, mais c'est vrai pourtant...
Jamais... Ma soeur a à peine 30 ans ; Deux trépanations au compteur, et autres joyeusetés. Elle ne s'habitue pas aux IRM, scanners et autres qui reviennent, et reviendront toute sa vie...
Malheureusement jamais je crois. On se familiarise avec l'examen mais l'angoisse est là jusqu'au résultat.
j'ai un frangin en sursis..comment dire que c'est intolérable, heure bleue?
L'éphémère a souvent un goût d'infini, mordre le bonheur à pleines dents et ne pas compter.
Drôle d'impression en lisant ce com' signé Elvire. J'ai craint un début de schizophrénie parce que je n'avais pas allumé l'ordinateur et puis comme rien ne correspond à mon expérience c'est troublant !
Nous sommes deux Elvire donc...
Mais pour revenir à ta note vous êtes entrés dans une période de contrainte des examens divers, jamais plus l'insousciance et le vague sentiment d'être éternel... toujours l'inquiétude et la menace. Pourtant, entre les contrôles je vous souhaite à tous deux beaucoup de capacité à apprécier les bons moments.
On ne peut s'habituer mais esperer, vivre chaque jour pleinement.
On te détartre surtout le système circulatoire à l'iode...
Mais c'est mieux que la scintigraphie qui te prépare ton cancer de la thyroïde de dans 10 ans pour vérifier que celui de dans tout de suite n'est pas encore là ...
Je pense que malheureusement on ne s'habitue jamais, on peut juste ce dire que ça ira.
L'essentiel ce sont les autres moments qui font que c'est moins aigu , moins proche ...et croire envers et contre tout car la force de l'esprit est indispensable .
Je ne crois pas qu'on s'habitue, en effet...
Bonne soirée, et bises à vous deux...
C'est pas comme le cancer , bien sûr mais une embolie pulmonaire ça peut être radical (id un infarctus) eh bien le Gazou il en a fait 4... et si quelqu'un se fait du souci c'est moi, absolument pas lui...
Alors si vous pouvez TOUS LES DEUX profiter des périodes entre examens divers... bon, je l'ai déjà dit. Cela dépend du verre à moitié plein ou vide...
Croire en la guérison.
Croire, malgré ces rendez-vous, ces moments angoissants et difficiles à supporter.
L'espoir Heure Bleue, l'espoir, c'est ce qui fait vivre.
Amitiés.
c'est encore trop frais.
Ce n'est pas évident mais occupez-vous, faites des choses que vous aimez faire ensemble: pique-nique, balades, sorties diverses... ça vous changera les idées et vous relativiserez peut-être un peu. Bisous plein de courage
On ne s’habitue pas, je crois, on vit avec. Avec l’angoisse qui revient avant chaque examens (qui heureusement vont s’espaçant), avec les jambes qui flageolent lorsque le résultat est bon, puis, en attendant le suivant, on y pense moins, moins souvent. Reste une façon différente de concevoir sa vie, pour les plus chanceux (où les plus forts), le désespoir quelque fois pour d’autres. Peut-être cela s’approche-t-il de la vie dans un pays à la paix précaire, tu le sais mieux que moi. Courage… espoir...
Je ne sais pas non plus si on s'habitue... j'espère qu'une forme d'apaisement arrive au bout d'un moment...
C'est simple : jamais. Pardonne-moi cette formule lapidaire (et de te tutoyer), mais en plusieurs années maintenant, c'est toujours pareil. On passe 3 mois sans examens : on se demande pourquoi "on n'est pas surveillé mieux que ça", et quand "on l'a enfin", on crève de trouille à se dire "est-ce que ça va être bon ou pire ?". Baisser la tête ou la lever, serrer les dents pour passer en force ou profiter du présent, il n'y a pas de bon moyen. Juste celui qui te convient le mieux.
Amitiés.
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