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Ce matin, j'ai écouté Yoann Sfar sur France Inter. J'aurais voulu écrire tout ce qu'il a dit. Lui aussi a compris que c'était la jeunesse qui avait été frappée. Une jeunesse de toutes les religions et de toutes les couleurs. Une jeunesse qui profitait de la vie. Au hasard. Il leur fallait frapper ce qu'ils détestent, ces obscurantistes. La jeunesse, la beauté, la gaîté, la danse, le chant, l'amour. On nous l'a bien montré. Les visages des victimes le montrent aussi. Des jeunes, des blonds, des bruns, des arabes, des noirs. Et je ne sais pas si mon cœur saigne plus...

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